top of page
INFO.jpg

A ce jour 09 mars 2020, voici nos règles au cours de nos stages

durant cette période particulière

 

1) Avoir toujours son masque dans son sac ou sa veste avec soi au cas où, n’est pas une mauvaise idée car pendant la danse de couple qui exige une forte proximité physique, le port du masque nous semble nécessaire.

 

2) Si vous sentez que vous présentez déjà des symptômes de la grippe, merci de privilégier votre guérison en appelant le 15 et ne pas venir à nos stages et soirées pour l’instant.

 

3) Pour le moment, lors de nos stages (en mars), il n’y aura pas de salutation main à main mais verbalement (salutation de coeur).

Il n'y aura pas d'embrassades au cours de nos stages de danses entre notre équipe et les participants/participantes. Il s'agit des stages programmés avant le 15 mars 2020.

Cependant, tous les participants restent totalement libres de leurs gestes entre eux durant le stage.

Avant le début et après la fin de chaque stage, notre équipe mettra à la disposition de tous les participants/participantes, du savon et de l’eau pour se laver les mains. 

 

4) Le coronavirus se développe encore très vite et se transmet aussi plus vite dans un milieu fermé.

Or, nos stages et soirées se déroulent dans des salles de danses qui sont des lieux fermés et non ouvert comme en plein air en été, et enfin, les danses de couple exigent la proximité entre danseurs et danseuses.

Dès lors, à ce jour 9 mars 2020, nous prenons notre responsabilité et décidons :

nos stages et tous nos autres évènements déjà programmés sont momentanément annulés dès le 15 mars 2020.

Ainsi, toutes les réservations déjà enregistrées et concernant nos évènements programmés après cette date sont annulées.

Nous attendons de voir la suite (l'évolution ou régression) de cette épidémie pour savoir quand reprendre.

EN CE JOUR 9 MARS 2020, NOUS DÉCIDONS ET NOUS NOUS ENGAGEONS ÉGALEMENT PAR ANTICIPATION DE :

S'INFORMER À TRAVERS DE SOURCES SURES, SE PROTÉGER ET INFORMER TOUT LE MONDE POUR PROTÉGER LES AUTRES ET SAUVER DES VIES.

L'HEURE EST GRAVE, C'EST UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT.

 

LA VIE PRÉVAUT SUR LES DANSES, SUR LES RENCONTRES AMICALES, SUR L'ARGENT.

FACE À LA MORT GALOPANTE ENGENDRÉ PAR LE VIRUS, LA LOGIQUE COMPTABLE N'A AUCUN SENS.

A QUOI SERVIRAIT, FACE AU CORONAVIRUS,  DE CONTINUER À JOUER À LA CÉCITÉ ET SURDITÉ VOLONTAIRE EN ORGANISANT DES SOIRÉES, DES STAGES, DES FESTIVALS, DES RENCONTRES SPORTIVES, AMICALES, POUR FINALEMENT UTILISER TOUT L'ARGENT GAGNÉ POUR ACHETER DES MILLIONS DE CERCUEILS ?

IL SUFFIT DE VOIR L'AUGMENTATION DU NOMBRE DE MORTS ENREGISTRÉ CHAQUE JOUR EN FRANCE, DANS LE MONDE ENTIER ET SURTOUT EN ITALIE OÙ LA SITUATION FRÔLE L'APOCALYPSE TANT IL N'Y A PLUS DE PLACE DANS LES CIMETIÈRES. LA CRÉMATION ÉTANT DEVENUE LA NORME.

DANS CERTAINS PAYS, DES STADES DE FOOT, DES ÉCOLES, DES GRANDS MAGASINS ... ONT ÉTÉ RÉQUISITIONNÉS POUR ACCUEILLIR DES MALADES DU CORONAVIRUS.

LES PLUS GRANDES RENCONTRES SPORTIVES, LES GRANDS CONCERTS, LES CÉRÉMONIES RELIGIEUSES, ONT ÉTÉ REPORTÉS.

RELÉGUER LE CORONAVIRUS AU RANG DE GRIPPETTE, C'EST MÉCONNAITRE LE DRAME QUI EST EN TRAIN DE SE JOUER SOUS NOS YEUX.

IL EST HUMAINEMENT DIFFICILE VOIRE IMPOSSIBLE DE SE REFUGIER DANS LA POSITION DE SPECTATEUR STÉRILE, DANS UN MONDE QUI SE CONFINE DE PLUS EN PLUS FACE À LA MORT GALOPANTE ET QUOTIDIENNE DANS PLUS DE 35 PAYS, SOIT PRÈS D'UN MILLIARD DE PERSONNES CONFINÉES POUR L'INSTANT AVEC DANS CERTAINS LIEUX, LA TRANSFORMATION DE CERTAINES LIBERTÉS PUBLIQUES EN DÉLITS PUNISSABLES DE PEINE DE PRISON AVEC AMENDES.

FACE À LA MORT, LE DROIT À LA VIE EST AU DESSUS DE LA LIBERTÉ DE CIRCULER ET D'ORGANISER DES RENCONTRES PHYSIQUES.

NOUS METONS POUR LE MOMENT NOTRE PASSION (LES DANSES, LES SOIRÉES,

LES PUBLICITÉS DES ÉVENTS) EN PAUSE

POUR INFORMER ET INCITER À

LA RESPONSABILISATION DE TOUS.

Notre engagement depuis le 9 mars 2020

avec pédagogie et transparence

INFORMER À TRAVERS DE SOURCES FIABLES POUR INCITER À LA RESPONSABILITÉ ET SAUVER DES VIES

La vie et la santé sont des biens précieux qui sont au dessus de tout.

 

SOMMAIRE

 

INTRODUCTION

LE COVID-19

Les modes de contagion ou de propagation du Coronavirus

LES RÈGLES D'URGENCE

La distanciation physique

La responsabilité individuelle

et collective dans l’intérêt de tous

Compréhension - Solidarité nationale

 

LA TRANSPARENCE DES ÉTATS

FACE À L'HÉCATOMBE

La transparence dans la communication du nombre total (hôpitaux + EHPAD + domiciles ...) quotidien de dècès et de contaminés (cas positifs) en France

LES TESTS

(BIOLOGIQUE ET SÉROLOGIQUE) DE TOUTE LA POPULATION ET DU TRAÇAGE DE TOUS LES CONTAMINÉS

la mise en quarantaine des cas graves dans les hôpitaux

Le confinement des cas non graves

dans des hôtels résiquisitionés et bâtiments inoccupés de l'État.

Le traçage des malades et la question de l'adaptation de la démocratie aux enjeux sanitaires

 

LE CONFINEMENT 

Un mal nécessaire (dans l'urgence) et à respecter pour ralantir la propagation du Covid-19.

Mais, un piège qui exige plusieurs garanties pour s'en libérer progressivement.

La recherche du "graal" : l'immunité de groupe

Le déconfinement et la hantise des vagues

LES MASQUES DE PROTECTION

L'importance des masques pour toute la population sans exception, durant le confinement et après le dé-confinement, sans mettre en cause, la priorité aux personnels soignants.

Le port régulier du masque (durant le confinement et après le dé-confinement) ne doit pas occulter ou faire oublier les lavages répétés et quotidiens des mains, la distanciation sociale. 

CORONA-GATE

LES DESSOUS DE L'IMPRÉPARATION MONDIALE CONTRE LA PANDÉMIE

DU SIÈCLE : LES CHOIX POLITIQUES

DES TROIS DERNIÈRES DÉCÉNNIES

Les causes historiques 

Les causes actuelles 

 

 

 

L'ORIGINE DES PANDÉMIES VIRALES

LE COVID-19 EST UNE ZOONOSE

Les "ZOONOSES" ou les maladies

infectieuses des animaux (sauvages)

transmissibles aux humains.

La responsabilité humaine :

- le modèle de société ou de développement

- les modes de vie

PLUSIEURS QUESTIONS

- Sur le confinement et ses dégâts

- Sur le déconfinement et ses incertitudes

- Sur l'après Covid-19 ou le monde d'après

- Sur l'urgence de prendre conscience de nos erreurs et changer nos modèles de développement pour construire ensemble sur la planète, un monde meilleur

..................................................

 

INTRODUCTION

Quand une épidémie se déclenche et devient de surcroit une pandémie (planétaire), il faut en général du temps avant que les chercheurs découvrent l’antidote ou le vaccin.

Nul ne sait sur la planète, combien de temps (plusieurs semaines, mois, années ?) il faudra aux chercheurs. 

Pour être, on ne peut plus explicite, nul ne peut prévoir ce qui relève de l'aléatoire ou du hasard.

Ainsi, contrairement à beaucoup d'informations et même des arnaques (ventes soi disant de médicaments efficaces) qui circulent sur internet y compris sur les réseaux sociaux, il n'y a pour l'instant, nul part au monde, un remède contre le Coronavirus lui-même (la maladie).

Pour l'instant, il n'y a que des médicaments contre les symptômes du Coronavirus (ses effets), c'est-à-dire contre la fièvre, les toux, les éternuements ...

La chloroquine qui pourrait être un espoir, fait pour l'instant l'objet de doutes sérieuses et de cacophonie au sein de la communauté scientifique mondiale, quant à savoir son effet placebo (effet secondaires) sur les patients, non pas par rapport au paludisme connu des médecins de la planète, mais par rapport au coronavirus.

 

Pour que les danses (salsa, kizomba, bachata) que nous enseignons vivent, il faut d’abord, dans la situation actuelle et difficile pour tous, en particuliers les acteurs de l'évènementiel, préserver la santé des personnes (enseignants, organisateurs, participants ou danseurs/danseuses, DJ) qui font vivre ces danses.

Nous avons tous un rôle à jouer dans le combat contre le coronavirus, peu importe notre rang social et notre profession, pays et continent dans la mesure où c'est la survie de toute l'humanité qui est en danger.

Et l'information à travers de sources fiables, pour déclencher une prise de conscience mondiale sur la gravité de la situation afin que chacun et chacune prenne ses responsabilités dans l'union sacrée, contre le coronavirus, n'est pas réservé qu'aux médias, aux gouvernements, aux personnels soignants ...

 

LE COVID-19, EST L'AFFAIRE DE TOUS SUR LA PLANÈTE

ET PAS UNIQUEMENT L'APPANAGE DES ÉTATS,

DES CHERCHEURS, DES SOIGNANTS (MÉDECINS, INFIRMIERS ...), DES POMPIERS, DES POLICIERS ...

CHACUN ET CHACUNE SUR LA PLANÈTE A UN RÔLE À JOUER POUR SAUVER SA VIE ET CELLE DES AUTRES DANS LE MÊME COMBAT MONDIAL CONTRE LE COVID-19

« Ce n’est pas seulement une crise de santé publique, mais une crise qui va toucher l’ensemble des secteurs — donc tous les secteurs et les individus doivent s’impliquer dans le combat » contre la maladie, avait précisé le directeur général de l’OMS, le mercredi 11 mars 2020.

Les symptômes les plus fréquents du Coronavirus, sont la toux, la fièvre, des douleurs musculaires, des difficultés respiratoires, plus rarement des diarrhées fébriles et des nausées et mêmes chez certains patients, des symptômes cardiaques ... 

 

Là encore, c'est-à-dire concernant les symptômes dont la liste est non exhaustive pour l'instant, l'OMS avait bien précisé aux états que : 

"Dans les cas les plus graves, l'infection peut entraîner une pneumonie, un syndrome respiratoire aigu sévère, une insuffisance rénale, voire la mort".

Cette information de l'OMS était fondée sur les données  du Centre chinois de contrôle des maladies.

En effet, ce Centre chinois de contrôle et prévention des maladies avait publié en fin mois de février 2020 une étude portant sur 72 314 cas confirmés en Chine, suspectés, diagnostiqués cliniquement et asymptomatiques de la pneumonie virale, constatés depuis le 11 février 2020.  Il s'agissait de la plus importante étude menée depuis le début de l'épidémie (donc, avant qu'elle ne soit déclarée "pandémie" par l'OMS le 15 mars 2020).

 

Selon les résultats de cette étude chinoise, la maladie est bénigne dans 80,9% des cas, "grave" dans 13,8% des cas et "critique" dans 4,7% des cas.

Cette étude chinoise parle aussi de cas peu ou pas symptomatiques : c'est-à-dire qu'on a le virus (qui est en train de se développer petit à petit dans le corps), mais pas de signes apparents (pas de signes visibles pour le médecin qui consulte le patient).

Et ces cas asymptômatiques ou benignes, sont les plus nombreux (80,9% des cas du coronavirus, selon l'étude chinoise).

C'est surtout à ce niveau, que ce situe LE PLUS GROS PROBLÈME À RÉSOUDRE, POUR LES MÉDECINS ET CHERCHEURS DE LA PLANÈTE.

C'est l'une des raisons pour lesquelles, il est difficile de jeter la pierre sur les médecins (en Europe) qui avaient au départ sous estimés et qualifiés la maladie de "grippette" (pendant 2 mois) en rassurant le monde sur des plateaux de télé, avant de rétro-pédaler (dès le 15 mars 2020) à cause de l'hécatombe exponentiel quotidien qui s'en était suivi.

 

En effet, ces profils-là (asymptomatiques) sont difficiles à repérer à fortiori diagnostiquer avec certitude. Ils représentent la très grande partie immergée de l'iceberg (de l'épidémie) alors que les cas graves et les cas critiques qui présentent tous des symptômes visibles, représentent la partie visible de l'iceberg.

 

Les cas asymptomatiques continuent ainsi de circuler et de transmettre le virus sans qu'on les ait identifiées parce qu'ils vivent normalement comme d'habitude, ils se portent bien sur tous les plans, ils continuent leurs activités (sport, travail, sorties, rencontres amicales ...), mais, elles ne savent pas qu'elles portent le virus corona (Covid-19) depuis un bon moment et qu'elles ont déjà contaminé plusieurs personnes dans leur entourage (contaminations intra-familiales) et en dehors de leur entourage (au travail, lors des soirées, dans les commerces, les pique-niques, à l'école, à l'université, dans les lieux de culte, dans les aéroports et les avions ...).

D'où, l'importance des tests sérologiques (tests sangins) sur toute la population pour identifier toutes les personnes qui portent le virus (cas aymptômatiques ou pas) et les isoler du reste de la population non contaminée (quitte à ouvrir des camps, réquisitionner des hôtels, des stades de foot, des grandes salles de concert).

En l'absence de vaccin et ou de médicament efficace reconnu et homologué, vouloir vaincre le Covid-19 sans le test sérologique généralisé, équivaudrait sans doute, par extrapolation, à livrer contre un prédateur sous marin, une bataille perdue d'avance dans les abysses sans torche, sans visibilité.

Pour pouvoir suivre les cas asymptomatiques qui peuvent, à un moment donné, devenir des cas graves et puis des cas critiques et engendrer des vagues ou tsunamis de patients dans les hôpitaux qui sont déjà débordés, il faut combiner aux deux tests (biologiques et sérologiques), le traçage quitte à violer les libertés publiques et les vies privées, pour sauvegarder la santé publique en ces temps exceptionnels.

L'OMS avait préconisé le dépistage préventif en recommandant aux états d'isoler uniquement toutes les personnes contaminées (cas graves, non graves, asymptomatiques).

Mais, faute de moyens, presque tous les états de la planète ont choisi un autre scénario qui consiste à décréter le confinement de toute leur population (contaminés et non contaminés) et faire ensuite le dépistage à postériori.

 

L' OMS n'a jamais demandé aux états de confiner toute leur population ! Le confinement de toute la population est une invention des états qui manquaient de moyens (lits, tests massifs, respiratoires, masques, médicaments).

En effet, l'OMS avait, dès le départ (bien avant que l'épidémie se transforme en pandémie), recommandé  à tous états de la planète de tester, de tester, de tester d'abord toute leur population, et isoler les porteurs du virus (en quarantaine stricte) pour protéger le reste de leur population non contaminée.

Le mot "tester" est martelé trois fois de suite dans la recommandation de l'OMS. 

 

 

Mais, faute de moyens matériels et humains disponibles face à l'urgence et l'hécatombe quotidien, 99,99% des états de la planète (à l'exception de la Corée du sud), avaient choisi de confiner d'abord toute leur population (avec des amendes en cas de non respect) et ensuite faire les tests.

Or, le confinement est certes un mal nécessaire dans l'urgence en cas de manque de moyens, mais il est aussi un "piège" dont il difficile de s'en libérer vite, dans la mesure où le dé-confinement qui n'est point la fin des contagions, exigera que les états aient des garanties qu'il n'y aura pas de nouvelles vagues qui pourraient submerger encore les hôpitaux et pousser ces états à décréter un deuxième confinement, ou du moins que ces états aient la certitude de s'être préparer à amortir ces nouvelles vagues.

L'idéal serait de ne pas être tenté par les futurs beaux jours pour relâcher et sortir nombreux pour se rassembler alors que ni le nombre des admissions (hôpitaux) ni  la courbe épidémiologique ni le nombre de décès n'ont pas encore baissé significativement.

Le relâchement du confinement pourrait être un suicide volontaire et une circonstance aggravante de la possible naissance d'autres nouvelles vagues à l'échelle nationale et aussi à l'échelle internationale (du fait que beaucoup d'états pourraient décréter trop tôt le dé-confinement et ouvrir leurs frontières à la libre circulation de milliers et voire de millions personnes contaminées).

Et puisque presque tous les états (à l'exception de la Corée du sud) avaient fait la sourde oreille de décembre 2019 jusqu'au 15 mars 2020 en sous estimant le virus (Covid-19), et en ne commençant pas par les tests de leur population, l'idéal serait, de tenter de rattraper ce retard mondial en testant (biologique et sérologique) toute leur population durant le confinement afin de préparer le dé-confinement futur car aucun des états ne pourra maintenir éternellement leur population dans ce confinement.

Concernant le dé-confinement hâtif, l'OMS avait mis en garde tous les états en affirmant que "le Covid-19 est 10 fois plus dangereux que le redoutable virus H1N1, et qu'il fallait attendre l'arrivé d'un vaccin pour dé-confiner".

Mais là encore, beaucoup d'états de la planète, après deux mois de confinement, se sont mis à dé-confiner leurs populations en prenant le risque de rassembler à nouveau, au nom des impératifs économiques, des millions de personnes malades (contaminées : cas critiques, cas graves, cas asymptomatiques) et des millions de personnes non malades (les séronégatifs).

Est-ce pas là, en l'absence de vaccin, l'amorce d'un suicide collectif et volontaire à l'échelle planétaire ?

 

Quant aux masques de protection, ils restent importants pour toutes les populations de la planète durant le confinement et après le dé-confinement.

Mieux encore, c'est l'Académie française de Médecine qui avait informé les autorités en recommandant le port obligatoire du masque pour le grand public : " En France (...) le port généralisé d'un masque par la population constituerait une addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur "

 

La trouvaille selon laquelle le port du masque n'est important que pour les personnels soignants, est fausse et elle a certainement contribué à accéléré la propagation du virus en Europe contrairement en Asie où il y a depuis belle lurette, la culture du masque.

Les masques sont importants en priorité pour les personnels soignants qui sont en première ligne mais ils servent aussi de protection pour le reste de la population (y compris les forces de l'ordre).

Le port du masque est une mesure de précaution basique et élémentaire qui renforce les autres mesures telles que les lavages des mains et la distanciation sociale qui découlent de la responsabilité individuelle et collective après prise de conscience de la gravité de la situation.

Les masques ne remplacent pas les mesures barrières (lavage des mains, distanciation sociale ...) mais ils restent importants pour accompagner toute la période du confinement et aussi le dé-confinement.

TANT QU'IL N'Y AURA PAS DE VACCIN CONTRE LE COVID-19, L'HUMANITÉ N'EST PAS ENCORE SORTIE D'AUBERGE NI PROTÉGÉ. 

ET DANS TOUTE L'HISTOIRE DE LA MÉDECINE, ON N'A JAMAIS PU FABRIQUER UN VACCIN (HOMOLOGUÉ) EN QUELQUES MOIS OU SEMAINES, C'EST EN GÉNÉRAL UNE QUESTION DE PLUSIEURS ANNÉES OU AU MINIMUM UN AN OU DEUX ANS.

Puisque l'alimentation est une donnée première, l'idéal serait qu'il y ait à l'entrée de tous les commerces, une personne qui asperge du gel nettoyant sur les mains de tous les consommateurs avant qu'ils ne touchent quoique ce soit, dans la mesure où 80,9% des personnes contaminées (selon une étude chinoise du 11 février 2020), sont asymptomatiques (pas de signes apparents).

DÈS LORS, C'EST D'ABORD L'INFORMATION FIABLE QUI NOUS PROTÈGE ET NOUS RESPONSABILISE CONTRE LE CORONAVIRUS AVANT MÊME QUE LES MÉDICAMENTS ACTUELS ET LES FUTURS VACCINS NOUS PROTÈGENT.

TANDIS QUE L'IGNORANCE ENGENDRE LE DÉSASTRE.

IL EST DIFFICILE DE CONSTRUIRE PAR LE BIAIS DE L'INFORMATION SUR LE COVID-19, DE LA SOLIDARITÉ NATIONALE ET MONDIALE, SANS CONFIANCE.

ET IL N'Y A PAS DE CONFIANCE DANS L'INFORMATION, SANS TRANSPARENCE SUR CE QUI CONCERNE LA VIE DE TOUS.

D' OÙ, L'INTÉRÊT DE S'INFORMER ET INFORMER POUR SAUVER DES VIES.

Le Coronavirus (Syndrome Aigu Respiratoire Sévère) peut être mortel pour tous.

Les coronavirus forment une famille de virus variés qui peut infecter aussi bien l'homme que l'animal. 

Leur nom signifie "virus en couronne" et vient du fait qu'ils possèdent tous un aspect en forme de couronne lorsqu'ils sont observés au microscope.

Les coronavirus ont été identifiés pour la première fois chez l'humain dans les années 1960. 

Ce revient à dire, d'une part, que le Ciovid-19 n'est pas un problème français mais de tous les états, et d'autre part que l'humanité devait dès 1960, considérer l'apparition et les dégâts (minimes es soit-ils) des premiers coronavirus comme un test de sa capacité à faire face à d'autres virus plus redoutables qui pourraient advenir tôt ou tard, et donc anticiper par le biais de politiques de santé ou de systèmes de santé avec une vision un peu lointaine.

Mais, hélas.

Ces coronavirus causent des maladies émergentes, c'est-à-dire des infections nouvelles dues à des modifications ou à des mutations du virus.

Par exemple, les coronavirus humains causent principalement des infections respiratoires, allant du rhume sans gravité à des pneumopathies sévères parfois létales. Ils peuvent aussi s'accompagner de troubles digestifs tels que des gastro-entérites.

 

Selon l’avis rendu le 5 mars 2020 par le Haut Conseil français de la Santé publique, les coronavirus survivent jusqu'à 3 heures sur des surfaces inertes sèches et jusqu'à 6 jours en milieu humide.

Ainsi la transmission manu-portée à partir de l'environnement est possible.

Selon ce même Haut Conseil, il existe quatre sous-groupes principaux de coronavirus, appelés alpha, bêta, gamma et delta, et  sept formes différentes dont quatre communes (moins graves que les autres) :

 

229E (alpha coronavirus)

NL63 (alpha coronavirus)

OC43 (bêta-coronavirus)

HKU1 (bêta-coronavirus)

 

Et trois plus graves :

-1) SRAS-CoV (le bêta-coronavirus qui cause le Syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS, identifié en Chine en 2002).

Dans le cas de cette épidémie de Sras en 2002, le coronavirus responsable résultait d'une adaptation d'un coronavirus initialement présent chez la chauve-souris à un petit carnivore (la civette palmiste masquée, consommée en Chine) dans un premier temps, puis à l'espèce humaine. 

-2) MERS-CoV (le coronavirus bêta qui provoque le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ou MERS découvert en 2012 en Arabie Saoudite).

-3) Nouveau Coronavirus 2019, Covid-19 ou "Sars-SoV-2" identifié en Chine en décembre 2019.

Ce coronavirus a beaucoup de similitudes avec celui du SRAS (origine animale, identique génétiquement à 80%, responsable d'infections pulmonaires) mais aussi des différences notables pour les scientifiques au niveau de sa contagion. Il est contagieux dès le début des symptômes voire parfois en l'absence de symptômes alors que le Sras l'était quelques jours après les premiers symptômes. Il existe aussi des formes bénignes et asymptomatiques du Covid-19 alors que le Sras n'entraînaient que des formes sévères.

 

Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible pour se protéger contre l'infection par un coronavirus humain.

Cependant, des chercheurs du Centre National de Référence des Virus respiratoires (Institut Pasteur) ont indiqués dans un communiqué du 30 janvier 2020, être  parvenus à isoler et mettre en culture des souches du nouveau virus 2019 et espèrent mettre au point un vaccin d'ici un an et demi : "Désormais, les chercheurs de l'Institut Pasteur disposent du virus à l'origine de cette infection. Cet isolement viral ouvre la voie à de nouvelles approches diagnostique, thérapeutique et prophylactique."

Le coronavirus ou Covid-19, se transmet par le biais de la salive, des bisous ou embrassades, des toux et les éternuements à côté de personnes non atteintes, des poignées de mains (si ces mains touchent ensuite le visage, la bouche, le nez).

Dès lors, les déplacements et surtout les voyages des personnes contaminées vers des zones peuplées, est une circonstance aggravante de la propagation du virus (Covid-19).

 

 

 

 

 

Les symptômes comprennent en général selon les médecins : fatigue, fièvre, maux de tête, gêne respiratoire, frissons, sueurs, courbatures, toux, éternuements, et parfois chez certaines personnes, la perte de l'odorat et du goût.

Cependant, tout ce qui est "toux et gêne respiratoire" ne signifie pas automatiquement "coronavirus". Exemple : l'asthme.

Certains cas de coronavirus sont asymptomatiques (pas de symptômes visibles) mais la personne porte le virus.

N'importe qui (personne âgée ou jeune) peut attraper le virus en touchant ou en mettant la main nue sur une surface quelconque ou sur un objet quelconque (exemple un bic, un téléphone, une tasse, un sac, la poignée d'une porte, une chaise, une table ...) sur lequel il y avait déjà ce virus déposé involontairement par une autre personne porteuse qui ignore qu'elle est porteuse.

La personne (âgée ou jeune) qui a ramassé le virus ne sait pas à l'instant "T" qu'elle est porteuse et donc peut involontairement continuer à le propager dans son entourage et avec des gens à l'extérieur de sa famille dans la proximité.

En effet, la durée d'incubation (ou durée de développement) du virus corona est de deux semaines selon les spécialistes (sources médicales).

Après, tout dépend du système immunitaire de chaque personne.

La personne qui a le virus ne le saura que lorsque ce virus se sera développé en elle pour engendrer l'apparition des symptômes (toux, éternuements, fièvre ...) ou lorsqu'elle sera contrôlé positif (après un test).

Ainsi, ce n'est pas automatiquement parce qu'on se porte bien qu'on a pas ce virus et qu'on ne peut pas le transmettre.

En attendant la découverte d'un antidote (homologué et validé par la communauté scientifique) ou encore un vaccin, pas de panique, de simples mesures (préconisées par le ministère de la santé) pour prévenir, valent mieux que guérir.

 

Mesures de protection générale pour les enfants afin que les parents s'y inspirent pour les expliquer comment se tenir afin d'éviter d'être contaminé ou de contaminer d'autres enfants ou adultes à leur insu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mesures de protection spécifique pour les adultes pendant le confinement et l'après confinement car le déconfinement ne signifie pas la fin du Covid-19.

 

 

 

 

 

 

 

 

Mesures de protection spécifique pour les soignants (médecins, infirmiers ...) dans les hôpitaux pour éviter qu'eux-mêmes soient contaminés et qu'ils ramènent ensuite, à leur insu, le virus (Covid-19) dans leur familles, dans leur quartier ou dans leur cercle amical.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En synthèse de ces trois vidéos (ci-dessous), il est évident que si on entre en contact (physique) ou si on s'approche de trop près d'une ou des personnes sans adopter les mesures adéquates, on peut devenir un contaminé ou un contaminant sans se rendre compte.

D'où l'importance, en ces temps exceptionnels, pour les soignants, de comprendre et appliquer les mesures dans les hôpitaux, et l'importance pour les non soignants (le reste de la population hors des hôpitaux) de la pratique quotidienne de la distanciation physique ou sociale  et son corollaire de responsabilité individuelle et collective.

 

 

Pourquoi la distanciation physique et sociale et son corollaire de responsabilité individuelle et collective sont-ils si importants dans la lutte contre le Covid-19 ?

 

I.jpg

Qu'est ce que le Covid-19 ?

Les modes de contagion ou de propagation du Coronavirus

La prévention sans panique

Voir la vidéo (ci-dessous) pour comprendre comment nous pouvons, pour l'instant, non pas éradiquer le Covis-19, mais ralentir sa progression par le biais de la distanciation physique sous couvert de la responsabilité individuelle et collective.

Pour prendre conscience de l'importance de la distanciation physique et son corollaire de responsabilité individuelle et collective, il faut savoir la situation dans laquelle toute l'humanité est.

Absence de remède

 

En effet, même si les 7 milliards de personnes (Toute l'humanité) s'unissent contre le Cornavirus, ils ne pourront point l'éridiquer sans la présence d'un remède (médicament) ou encore un vaccin.

Encore faut-il que ce médicament (futur ou déjà présent) soit efficace et reconnu (après plusieurs études) avec certitude par la communauté scientifique comme étant l'antidote du Covid-19 et non un simple palliatif ou une substance permettant simplement de diminuer la charge virale (quantité de virus circulant dans le sang) sans éliminer définitivement le virus ni empêcher que le patient (sur qui on a administré ce médicament) continue de contaminer d'autres personnes à son insu.

Absence de vaccin

Quant à un vaccin, pour le fabriquer, il faut plusieurs années (10 à 15 ans en temps normal). Certains virus redoutables peuvent être très complexe et ne pas permettre du tout la fabrication de vaccin. Dans une telle situation non souhaitable, l'humanité ne pourra que se contenter de soins palliatifs sans garantie.

 

Dans une situation d'urgence, comme c'est le cas du COVID-19, pour fabriquer un vaccin, il faut au minimum 18 mois et voire deux ans parce qu'il faut beaucoup de travaux, de tests (sur des animaux et ensuite sur quelques humains) et un respect de méthodologie scientifique, avant de pouvoir l'administrer à des populations plus élargie.

Et même si un vaccin advenait, encore faut-il qu'il soit efficace et reconnu par la communauté scientifique avant d'être administré sur des millions et voire des milliards de personnes.

L'efficacité d'un vaccin, c'est la durée de protection (préventive) contre l'infection ou la contamination.

Exemple : la durée de protection contre une infection du Tétanos, est en moyenne de 10 ans. Ce qui signifie que si on vous administre le vaccin "DTP" du Tétanos, vous êtes immunisé pendant 10 ans en moyenne contre cette maladie.

Si l'efficacité est de un an, cela signifie qu'il faudra se faire vacciner chaque année pour renforcer le système immunitaire de l'organisme.

Exemple : l'efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière n'est pas totale  ! Il est de 30% à 60%.

Ce qui signifie que même vacciné, on peut attraper la grippe saisonnière, mais, elle ne sera pas grave à cause du vaccin.

En effet, la vaccination permet d'éviter une grippe saisonnière sur deux. L'efficacité varie aussi d'une personne à l'autre et d'une saison à l'autre, selon que les souches contenues dans le vaccin sont effectivement bien celles qui sont en circulation. Ce qui est sûr : le vaccin protège des formes graves de la grippe saisonnière tels que les risques de complications et d'hospitalisation.

L'efficacité d'un vaccin, dépend en général de l'efficacité des anticorps produit par les personnes infectées qui ont été guéries naturellement (immunité biologique).

Ces anticoprs sont dans le sang d'où l'importance des TESTS SÉROLOGIQUES de toute la population pour savoir qui est contaminé par le Covid-19, qui a produit des anticorps, quel est l'efficacité de ses anticorps ?

En attendant un remède et/ou vaccin

contre le Covid-19,

toute l'humanité est au système "D" :

LA PRÉVENTION

ou la distanciation physique et son corollaire de responsabilité individuelle

et collective

En l'absence de remède et/ou de vaccin, nous avons tous un rôle à jouer dans la mesure où le combat contre le Coronavirus, n'est plus, de ce fait,  uniquement l'apanage des gouvernements, des chercheurs, ni de ceux qui sont en première ligne (médecins, infirmiers, pompiers, policiers ...).

Chacun et chacune a une responsabilité pour freiner l'épidémie en l'étalant dans le temps.

Objectif : faire en sorte que le pic soit moins brusque (c'est la fameuse courbe à aplatir) et que le nombre de cas simultanés (ou les vagues) ne dépasse pas les capacités du système hospitalier (qui est tout de même déjà débordé).

D'où l'importance d'applaudir chaque soir les personnels soignants, et encore mieux, de limiter nos sorties pour les aider.

La responsabilité individuelle et collective pour limiter une progression de l'épidémie et ou encore une hécatombe galopante passent, pour l'instant, par un grand sacrifice de ce que nous aimons et tenons tous. 

Ce sacrifice douloureux mais responsable, est la pratique de la distanciation sociale.

S'il y avait un médicament efficace ou un remède, aucun gouvernement au monde n'aurait fait recours au confinement et voire même pour certains états, à la fermeture des frontières.

La distanciation sociale ne fait pas de nous des insociables ni des inhumains mais des humains responsables et des sauveurs de notre propre vie et de celles de milliers voire millions de personnes qui ne sont pas encore atteintes du virus.

 

 

 

 

Si nous rejetons la distanciation sociale, nous courons tous le risque de permettre à la maladie de progresser et donc nous nous condamnons d'être obligé, à un moment donné, de recourir à ce qu'aucun être humain ne veut et ne souhaite à personne, c'est-à-dire, le confinement dans les semaines ou mois qui suivent comme c'est déjà le cas dans plusieurs pays d'Europe où les mesures sont devenues strictes pour ralentir l'hécatombe et éviter la surcharge.

 

 

Qu'est-ce que le confinement ? Est-il une mesure médicale ou Moyen Âgeuse ou qui relève que l'instinct primaire de survie (la fuite) ?

Pourquoi le choix de ce confinement plus ou moins stricte par la large majorité des d'états de la planète ?

Qu'est-ce que les états attendent du confinement ? L'immunité de groupe aux prix de millions de contaminations intra-familiales et de centaines de milliers de morts ?

La baisse de la courbe épidémiologique, c'est-à-dire le passage du "pic" à un "plateau" décroissant pour désengorger les hôpitaux ?

Sommes-nous réellement en "guerre" ou sommes-nous tout simplement face à une catastrophe sanitaire inédite ?

 

I.jpg

La distanciation physique ou sociale

La responsabilité individuelle et collective

 

Le confinement n'est pas une mesure médicale mais une mesure préventive et brutale qui bouleverse nos modes de vie, qui cré de la solitude, de la souffrance (morale, psychologique, économique), des colères et qui confisque nos libertés.

Autrement dit, le confinement est, face à la mort, un pur réflexe humain pour sauver sa peau, c'est la fuite quand on sait qu'on a pas anticipé l'arrivé de l'ennemi et qu'on a pas encore ou assez d'armes adéquates. 

Il n'est pas un traitement médical car il ne tue jamais le virus mais étale la maladie sur le long terme en faisant baisser la courbe épidémique (la vitesse de propagation) et de décès (relativement).

Tous les états ou pays touchés par l'épidémie et qui ont fait le choix de confiner leurs populations, l'ont fait, d'une part, parce qu'ils n'ont pas assez de lits ni de tests disponibles ni assez de matériels (respiratoires, masques, médicaments) ni de personnels soignants suffisant pour accueillir tous les cas critiques et graves à fortiori tous les contaminés (cas sympômatiques et surtout les aymptomatiques qui ignorent qu'ils portent le virus).

Et d'autre part, les états ont choisi de confiner toute leur population parce qu'il n'y a pas encore de remède ni de vaccin contre la maladie elle-même.

 

AINSI, EN L'ABSENCE DE REMÈDE, DE VACCIN, DE DÉPISTAGE DE TOUTE LA POPULATION FRANÇAISE, DE L' ISOLEMENT DE TOUTES LES PERSONNES CONTAMINÉES (CAS GRAVES OU PAS), DU RESTE DE LA POPULATION, DES MASQUES, DES RESPIRATOIRES, DE MÉDICAMENTS, DE PERSONNELS SOIGNANTS, 

LE CONFINEMENT OU ASSIGNATION

À RÉSIDENCE QUI NE DIT PAS SON NOM,

EST UN MAL NÉCESSAIRE

QUE NOUS DEVONS, S'IL ÉTAIT IMPOSÉ PAR NOS AUTORITÉS, TOUS COMPRENDRE ET RESPECTER POUR SAUVER NOTRE VIE ET CELLE DES AUTRES AFIN DE LIMITER LA CASSE.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CE QUI SIGNIFIE QUE C'EST LE TEST  (SÉROLOGIQUE OU SANGUIN) DE TOUTE LA POPULATION (SANS EXCEPTION) AVEC

L' ISOLEMENT DE TOUTES LES PERSONNES CONTAMINÉES (SANS CONTACT AVEC LE RESTE DE LA POPULATION NON CONTAMINÉE) QUI DEVAIT ÊTRE PRIORISÉ DÈS LE DÉPART ET NON LE CONFINEMENT OU L' ASSIGNATION À RÉSIDENCE DE TOUTE LA POPULATION.

MAIS, SI ON CHOISI DE FAIRE L'INVERSE (PRIORITÉ AU CONFINEMENT ET NON AU DÉPISTAGE MASSIF), COMME C'EST LE CAS

DES 99, 99% DES ÉTATS DE LA PLANÈTE,

IL FAUT BIEN QU'ON AILLE JUSQU'AU BOUT DANS CE CONFINEMENT EN ASSUMANT LE FAIT QU'IL EST TROP FACILE D'ENTRER DANS LE 

CONFINEMENT ET QU'IL EST TRÈS DIFFICILE DE S'EN SORTIR SANS GARANTIES QU'IL N'Y AURA PAS DE NOUVELLES VAGUES

DU FAIT QU'ON AVAIT PAS CHERCHÉ À SAVOIR

QUI ÉTAIT CONTAMINÉ OU PAS,

QUI ÉTAIT IMMUNISÉ OU PAS À TRAVERS LES TESTS. 

 

CE QUI SIGNIFIE AUSSI QUE LE CONFINEMENT DE TOUTE LA POPULATION N'EST PAS

LA BONNE STRATÉGIE PUISQU'IL FAIT VIVRE ENSEMBLE LES CONTAMINÉS ET NON CONTAMINÉS DANS LES FAMILLES.

REMARQUES IMPORTANTES :

L' OMS N'A JAMAIS DEMANDÉ NI RECOMMANDÉ AUX ÉTATS DE PLANÈTE DE CONFINER TOUTE LEUR POPULATION.

LE CONFINEMENT DE TOUTE LA POPULATION EST UNE INVENTION DES ÉTATS QUI N'AVAIENT PAS ASSEZ DE LITS, DE RESPIRATOIRES, DE MASQUES, DE PERSONNELS SOIGNANTS, DE MÉDICAMENTS ...

LES ÉTATS QUI ONT FAIT LE CHOIX DE CONFINER TOUTE LEUR POPULATION, L'ONT FAIT À LEURS RISQUES ET PÉRILS AVEC TOUT CE QUE CELA COMPORTE COMME DIFFICULTÉS À DÉCONFINER SANS GARANTIES, ET AUSSI LES CONSÉQUENCES PSYCHOLOGIQUES ET ECONOMIQUES SUR LEUR POPULATION.

L' OMS AVAIT TOUT SIMPLEMENT RECOMMANDÉ AUX ÉTATS DE TESTER, DE TESTER, DE TESTER ET ISOLER UNIQUEMENT LES PORTEURS DU VIRUS ET TRACER LEURS CONTACTS, ET PROMOUVOIR LA DISTANCIATION SOCIALE DE MANIÈRE PROPORTIONNÉE SUR LEUR TERRITOIRE.

Le principe du confinement, c'est se dire qu'on a pas le temps de se préparer parce qu'on a pas anticipé,  et qu'il faut prendre tout de suite conscience de la gravité de la situation et protéger les vies face à la mort galopante, exponentielle, quitte à violer les libertés publiques auxquelles nous tenons tous, et ce, non pas sous l'angle de troubles à l'ordre publique, mais sous celui de la santé publique.

LE CONFINEMENT N'EMPÊCHE PAS DU TOUT LE VIRUS DE CONTINUER À FAIRE DES MILLIERS DE MORTS CHAQUE JOUR DANS LES RANGS DE PERSONNES DÉJA CONTAMINÉES À LEUR INSU.

 

MAIS, IL PERMET UNIQUEMENT DE RALENTIR LA PROPAGATION DE LA MALADIE ET DE DIMINUER PETIT À PETIT ET RELATIVEMENT LE NOMBRE QUOTIDIEN DE MORTS, SANS ÉLIMINER LE VIRUS.

AINSI, LE CONFINEMENT PERMET DE GAGNER UNE BATAILLE MAIS PAS LE COMBAT CONTRE LE VIRUS PARCE QU'IL N'EST PAS UN TRAITEMENT.

ET PLUS CETTE ASSIGNATION À RÉSIDENCE EST STRICTE, PLUS IL SERA COURT ET NON À LONG TERME.

PAR AILLEURS, TOUS LES ÉTATS QUI ONT MISÉS SUR LE CONFINEMENT COMME LEUR "ARME FATALE" CONTRE LE VIRUS, ONT ÉGALEMENT DE CE FAIT, MISÉS SUR "L'IMMUNITÉ DE GROUPE".

MISER SUR L'IMMUNITÉ DE GROUPE, CONSISTE À SACRIFIER DES CENTAINES DE MILLIERS DE VIES HUMAINES OU À LAISSER MOURRIR DES CENTAINES ET VOIRE DES MILLIONS DE PERSONNES DURANT LE CONFINEMENT, EN SE DISANT QUE PARMI LES PERSONNES CONTAMINÉES QUI AURONT ÉCHAPPÉES À LA MORT, CERTAINES D'ENTRE ELLES VONT FABRIQUER DES ANTICORPS (IMMUNITÉ NATURELLE DE LEUR CORPS).

CES ANTICORPS SERONT ENSUITE EXTRAIT VIA LE TEST SÉROLOGIQUE (TEST SANGIN) POUR FABRIQUER UN FUTUR VACCIN CONTRE LE CORONAVIRUS.

OR, CETTE IMMUNITÉ DE GROUPE EST CERTES POSSIBLE MAIS ALÉATOIRE, ELLE PEUT ADVENIR (TÔT OU TARD) OU PAS ASSEZ DANS LA MESURE OU TOUTES LES PERSONNES ATTEINTES NE FINISSENT PAS PAR PRODUIRE UN ANTICORPS CONTRE LE VIRUS QU' ELLES HÉBERGENT.

ET TOUS LES ANTICORPS NE PRODUISENT PAS UNE IMMUNITÉ DÉFINITIVE OU À VIE CONTRE UN VIRUS, À FORTIORI CONTRE UN VIRUS INCONNU (COVID-19).

SI CETTE IMMUNITÉ N'EST PAS DÉFINITIVE, LE VACCIN QUI EN RÉSULTERA NE SERA PAS EFFICACE CONTRE LE COVID-19.

ET S'IL N'EST PAS EFFICACE, LE COVID-19 CONTINUERA À RÈGNER SUR LA PLANÈTE OU POURRAIT REVENIR TÔT OU TARD APRÈS  L'AFFAIBLISSEMENT DE SA PROPAGATION PAR LE CONFINEMENT.

LE SOUHAIT EST QU'IL Y AIT UNE IMMUNITÉ, ET MIEUX ENCORE, QU'ELLE SOIT DÉFINITIVE.

POUR AVOIR CETTE IMMUNITÉ, IL FAUT QU'AU MOINS 70% DE LA POPULATION SOIT CONTAMINÉS DURANT LE CONFINEMENT ET QU'UNE PARTIE GUÉRISSE NATURELLEMENT.

SAUF QU'À LA GRANDE SURPRISE DES ÉTATS ET DES SCIENTIFIQUES, LE CONFINEMENT A PROTÉGÉ PLUS DE MONDE ET A DE CE FAIT, EMPÊCHÉ D'AVOIR LES 70% DE CONTAMINATION.

DU COUP, L'ESPOIR D'AVOIR UNE IMMUNITÉ DE GROUPE À LA FIN DU CONFINEMENT, S'EST ENVOLÉ.

En outre, le confinement de toute la population, c'est la mise en hibernation des libertés publiques et individuelles, de beaucoup d'activités économiques et administratives, des modes de vies habituelles avec beaucoup de stress, de colères, de pertes d'emplois, de solitude, de reports de procès, de mariages, de cérémonies, de rencontres sportives, de concerts, de soirées, des examens et concours ... sous couvert du retour de l'état providence.

Avec le confinement, il faut, partout sur la planète, s'attendre et se préparer psychologique à supporter l'insupportable (à court terme, nous le souhaitons), pour notre bien et celui des autres, jusqu'à ce que nous réussissons à vaincre la maladie.

 

 

 

 

SOMMES-NOUS EN GUERRE ?

 

SOUS COUVERT DU CONFINEMENT, TOUTE L'HUMANITÉ EST DANS UN COMBAT CONTRE LE COVID-19 MAIS PAS EN GUERRE AU MÊME SENS QUE LES GUERRES MONDIALES ENTRE LES ÉTATS.

EN EFFET, L'ENNEMI ICI, EST UN VIRUS (QUI REMET EN CAUSE NOTRE MODELE DE CIVILISATION AINSI QUE NOS CERTITUDES) ET NON UN ÉTAT NI UNE IDÉOLOGIE POLITIQUE.

LE VIRUS TEST NOTRE HUMANITÉ ET NOTRE SOLIDARITÉ À FAIRE FACE À UN MAL COMMUN !

Ainsi, nous ne sommes pas à proprement parler en présence d’une guerre, mais d’une catastrophe sanitaire. Les gens sont confinés chez eux, ils ne sont pas dans les tranchées. Il n’y a pas d’ennemis ni d’occupants, mais une menace virale, qui nécessite la mobilisation urgente de moyens qu'aucun pays de la planète n'a su anticiper.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CEPENDANT, IL Y A DANS CETTE CATASTROPHE SANITAIRE (COVID-19), CERTAINES RÈGLES SIMILAIRES À CELLES DES GUERRES MONDIALES.

Ce qui fait du confinement, un profond bouleversement qui va graver comme dans le marbre, de profondes cicatrices (surtout psychologiques) dans la mémoire collective. 

Exemples de similarité et non d'égalité

 

De 1939 à 1945, les écoles, les Universités, les entreprises étaient arrêtées, les français ne pouvaient sortir qu’en cas d’urgence: pour aller voir le médecin ou  chercher de la nourriture.

À une différence du confinement d’aujourd’hui 2020, s’ils ne respectaient pas les règles, ils ne récoltaient pas une contravention de la police mais risquaient de se faire arrêter par les soldats allemands, et des pires sanctions pouvaient s’en suivre.

 

En 1939-45, les français (jeunes et adultes et personnes âgées) n’avaient pas de téléphones portables comme c’est le cas de nos jours et ne pouvaient rien faire si ce n’est discuter et écouter les informations via la radio.

Avec le confinement de nos jours, si on sort pour faire des courses, en respectant les règles préconisées par le gouvernement pour notre bien à tous,  on ne risque pas de voir nos proches mourir fusillés comme 1939-1945.

Dans tous les combats contre les pandémies, il y a plus ou moins une hécatombe.

 

La transparence dans la communication sur cette hécatombe, a plusieurs importances.

Lesquelles ?

Le choc qui engendre le réveil des consciences sur la gravité de la situation ?

L'incitation à la responsabilité individuelle et collective et à solidarité nationale ?

La confiance aux autorités ?

 

I.jpg

Dans l'urgence, nous ne sommes pas à l'abri du recours au confinement

en France, au regard du nombre croissant

de décès et de cas positifs

IL Y A CERTAINEMENT PLUS DE DÉCÈS QUOTIDIEN ET AUSSI PLUS DE CAS POSITIFS EN FRANCE.

CE QUI DOIT INCITER ENCORE AU RÉVEIL ET À LA SOLIDARITÉ NATIONALE.

 

LA TRANSPARENCE ENGENDRE

LA CONFIANCE ET DÉBOUTE LA DÉFIANCE ENVERS LES AUTORITÉS.

SANS CONFIANCE, IL N'Y A PAS D' ADHÉSION.

ET SANS ADHÉSION, IL N'Y A PAS DE CIVISME.

OR, LES MENSONGES SUR LES MASQUES, LES TESTS ET LE NOMBRE EXACTE DE DÉCÈS FONT LÉGION

 

 

 

En effet, le nombre de décès déclarés chaque jour en France ne reflète pas la réalité (le nombre réel de décès quotidien) qui est certainement plus grave dans la mesure où le nombre de décès quotidien dans les milliers d'établissements tels que les EHPAD, et le nombre de décès quotidiens dans les cliniques, et dans toutes les villes (décès à domicile) ne sont pas liés (informatiquement) à celui des décès en milieu hospitalier.

Or, ce qui est communiqué chaque soir relève uniquement de la réalité en milieu hospitalier (Hôpitaux publics de France).

Également, le nombre de cas déclarés positifs chaque jour en France ne reflète pas la réalité dans la mesure où après la contamination et avant l'apparition des symptômes (donc, durant la période d'incubation : 2 à trois semaines maximum), peut-être que des milliers et voire des millions de français déjà contaminées à leur insu, vont continuer involontairement à contaminer dans les mois qui suivent, d'autres personnes dans la proximité et aussi des objets que beaucoup de gens vont toucher.

A la différence du choix de communication en France sur les dégâts (en terme de vies humaines) causés par le Coronavirus, le nombre de décès et le nombre de cas positifs quotidien en Italie et en Espagne, tiennent compte des décès dans tous les établissements (hôpitaux publics, EHPAD, villes ou domiciles).

Ce qui donne l'impression en France, que la situation est moins grave qu'en Italie et en Espagne, qu'il y a plus de maitrise en France, que la courbe épidémique en France est moindre, alors que cette courbe n'est certainement pas aussi moindre que çà si on dépistait tout le monde et si on comptabilisait les décès et contaminations dans tous les établissements (public, privé, villes ...).

 

Pour que plus de gens prennent fortement conscience de la gravité de la situation et respectent volontiers les règles préconisées par les autorités, il faut leur communiquer la réalité de la situation pour qu'il y ait un sursaut de solidarité et d'unité nationale contre le coronavirus.

Si on ne montre aux gens que la partie facilement visible de l'iceberg en retenant la partie immergé (la catastrophe) pour des raisons politiques (stratégie défensive de tous les gouvernements de la planète), il ne faut pas s'étonner que des millions voire des milliards de personnes continuent de sous estimer ou prendre à la légère, la gravité de la situation pendant qu'il y a péril en la demeure (la planète terre).

Exemple : quand nous avons été frappé par les attentats (État d'urgence d'ordre public), rien n'avait été caché ou dissimulé à la population française en terme de nombre de morts.

Tous les détails avaient été communiqués à la population pour la galvaniser et engendrer une union nationale contre l'ennemi.

Personne ne s'était plaint en disant que la communication du nombre exacte de tous les morts et blessés de partout allait diviser ou paniquer bien au contraire, puisque ce choc avait rapproché la population des forces de l'ordre et avait engendré une grande solidarité nationale.

Pour connaitre le nombre de cas positifs (personnes contaminées) et le communiquer avec transparence à la population pour la rassurer, l'idéal serait de faire le dépistage massif sans exception (y compris tout le gouvernement ...) et ne pas se limiter uniquement aux personnes présentant des symptômes.

 

 

 

Cependant, malgré les recommandations de l'OMS, pourquoi la large majorité des états n'ont pas au départ, et pour certains, jusqu'à présent, testé massivement en priorité au lieu de confiner massivement en priorité ?

I.jpg

L'idéal serait la transparence dans la communication

du nombre quotidien de décès et de cas positifs

en France durant le confinement et après

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ni le gouvernement, ni les médecins et infirmiers, ni les scientifiques ne savent exactement combien de milliers ou millions de personnes (bien portante) sont déjà contaminés en France puisqu'on ne teste jusque-là,  que ceux qui présentent des symptômes visibles.

Ce qui signifie qu'on est en train de faire uniquement des dépistages ciblés (vu l'urgence, la saturation des hôpitaux et l'absence de moyens suffisants qui découlent en très grande partie des politiques de santé des gouvernements précédents, depuis plus de 20 ans).

Et tous les citoyens ne consultent pas forcément leur médecin traitant.

En plus, encore faut-il que toutes les personnes vivant sur le territoire français aient un médecin traitant.

L'idéal serait, en ce TEMPS EXCEPTIONNEL, de tester toute la population française puis isoler et soigner les cas graves (en quarantaine stricte) et surveiller de près dans d'autres lieux sanitaires les personnes bien portante mais porteuses du virus (par exemple dans des hôtels réquisitionnés ou l'ouverture de camps) en les soignant également (quitte à mettre à contribution les services sanitaires de l'armée) de sortes qu'aucune de ces deux catégories de patients ne soient (pour éviter les contaminations) en contact avec le reste de la population (testée sero-négatif) qu'après guérison ou l'administration d'un futur remède que tout le monde attend.

 

LES MENSONGES SUR LES TESTS MASSIFS EN FRANCE ET SUR LE FAIT D'ACCUSER L' OMS DE N'AVOIR PAS AVERTIT ET RECOMMANDÉ LE TEST DÉS LE DÉPART AUX ÉTATS  

 

Au delà des innombrables mensonges sur les masques, il y a eu aussi des mensonges sur les tests !

En effet, pour se dédouaner de leur responsabilité de n'avoir pas pris les bonnes mesures à temps tels que les tests massifs et l'isolement des porteurs du virus, certains membres du gouvernement actuel (en France), ont indexé l'OMS sur le banc des accusés. Selon eux, l' OMS n'a averti les états de la planète de la nécessité de tester qu'au mois d'avril 2020.

 

 

 

 

Or, la stratégie des tests et surtout la priorité à ces tests + isolement dans le combat contre le Covid-19, fut dès le départ, la recommandation de l'OMS à l'attention de tous les états de la planète.

En effet, dès le 31 janvier 2020, la question des tests était mentionnée dans la recommandation de l' OMS. 

Le 31 janvier 2020, le comité d'urgence de l'OMS avait clairement recommandé à tous les états ceci :

"Mettre en place des mesures fortes pour détecter la maladie à un stade précoce, isoler et traiter les  cas, retracer les contacts et promouvoir des mesures de distanciation sociale proportionnelles au risque".

 

Le fond de cette recommandation est :

- 1) Détecter la maladie. C'est tester toute la population au stade précoce et donc pas uniquement ceux qui présentent des symptômes,

- 2) Isoler et traiter les cas. Il y a trois cas, ce sont toutes les personnes porteuses du virus (cas critiques, cas graves, cas des porteurs asymptomatiques).

- 3) Retracer les contacts. C'est le traçage des malades (et leurs contacts)

- faire respecter la distanciation sociale

Ensuite, l' OMS s'étant aperçu que la large majorité des états avait choisi d'abord de confiner toute leur population au lieu de tester et isoler les malades, avait, le 15 mars 2020, rappelé encore aux états, la priorité des tests !

" TESTER, TESTER, TESTER "  AVAIT MARTELÉ L'OMS AUX ÉTATS DE LA PLANÈTE LE 15 MARS 2020 ET NON EN AVRIL.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L' OMS VOULAIT QUE CHAQUE ÉTATS DE LA PLANÈTE BRISE TRÈS TÔT LA CHAINE DE CONTAMINATION PAR LE BIAIS DES TESTS MASSIFS ET L'ISOLEMENT DES PORTEURS DU VIRUS.

" ON NE PEUT PAS COMBATTRE UN INCENDIE LES YEUX BANDÉS "  AVAIT AFFIRMÉ L'OMS.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais, notre système de santé (en France) y compris d'autres systèmes en Europe (l'Angleterre, l'Italie, l'Espagne, Portugal, Belgique ...) et aussi les systèmes de santé aux USA, en Amérique latine, en Afrique ..., n'ont pas été conçus pour faire face à une pandémie d'une telle ampleur et par conséquent,  aucun des gouvernements de la planète n'a voulu commencer par le TEST de leur population (exceptions : Corée du sud, et ensuite l'Allemagne), et aucun d'eux ne possèdent assez de lits disponibles pour ISOLER (en quarantaine stricte) tous les centaines de milliers de cas critiques et cas graves enregistrés chaque jours sur leur territoire, à fortiori accueillir en plus tous les millions de cas positifs (porteurs sains qui ne savent pas qu'ils ont le virus, tels que les cas asymptomatiques qui ne présentent rien qui puisse faire douter qu'ils portent le virus). 

Les asymptomatiques représentent selon l'étude chinoise du 11 février 2020 transmis à l'OMS, 60 à 80,9% des contaminées du Covid-19. Ces asymptomatiques sont en quelque sorte, la partie cachée ou immergée de l'iceberg (l'épidémie). 

Or, ces asymptomatiques continuent à leur insu de contaminer leurs proches et d'autres personnes qui ignorent que les premiers portent le virus.

Pire encore, une partie des personnes qui présentent des symptômes visibles passent à travers les mailles du diagnostic des médecins à cause du fait que la liste des symptômes du Covid-19 n'est pas encore exhautive (chaque semaine, on découvre un nouveau symptôme qui caractérise le Covid-19).

 

D'où, la recommandation claire de l'OMS aux états : TESTER (le sang) ET ISOLER (quarantaine stricte).

En plus du fait qu'aucun de ces systèmes n'a été conçus au départ pour contenir les dégâts d'une pandémie à l'échelle nationale, il y a aussi le fait que les mesures drastiques de réduction du personnel, des matériels et du budget du système de santé (le parent pauvre de l'économie et la croissance) de tous les états de la planète, dans les trois dernières décennies, sont une circonstance aggravante du manque criant de moyens face au Covid-19.

D'où, saturation oblige des hôpitaux, l'idée de confinement des gens chez eux, fortement suggérée ou décrété par presque tous  les gouvernements de la planète, de manière plus ou moins stricte, ou plus ou moins prolongé, et à sorti des fois, de peine de prison conjuguée à une amende de plus en plus majorée.

Le confinement ne ne peut à lui seul éradiquer les dégâts (l'hécatombe quotidien) de la pandémie du coronavirus à l'échelle nationale, sauf s'il est combiné au dépistage massif et la mise en quarantaine stricte des porteurs du virus pour éviter que ces derniers continuent de contaminer leurs proches chez eux ou au travail ou lors d'une sortie pour faire par exemple un achat de première nécessité dans un supermarché.

Ainsi, le dépistage permet de découvrir le périmètre du chantier qui nous attend, et le confinement ne confine pas le coronavirus mais la personne qui l'héberge dans son corps.

Le confinement ne met pas non plus aucun pays à l'abri de nouvelles vagues dans la mesure toute la population ne se contamine pas le même jour et toutes les personnes ne tombent pas malade à la même période ou ne découvrent pas au même moment qu'elles sont atteintes ou présentes des symptômes du coronavirus.

Ses vagues ou "tsunamis" de patients, chaque pays déjà atteint par le coronavirus (en minorité ou majorité), doit s'y attendre et donc anticiper dès lors que les deux cas de patients (cas graves et non graves) n'ont pas été isolés, dès le départ, du reste de la population (testée sero-négatif).

Ainsi, pour pouvoir faire face aux nouvelles vagues, il faut une visibilité plus lointaine.

Ce qui signifie que même le dépistage systématique (biologique) de toute la population française sans exception n'est pas suffisante dans la mesure où ce type de dépistage présente beaucoup de failles (des faux négatifs).

Pour former une digue contre les nouvelles vagues, il faut que le dépistage systématique (biologique) ait été conjugué de manière simultanée au dépistage sérologique (prise de sang et analyses) et au traçage des patients (porteurs du virus). 

 

Ce trio permet aussi de maintenir toute l'activité économique du pays tout en responsabilisant les citoyens sans confiner toute la population mais uniquement les porteurs du virus, et donc éviter la pénurie de personnels soignants, de masques, et alléger la tâche des policiers qui n'auront plus à contrôler en longueur de journée, les citoyens.

I.jpg

L'idéal serait, et il n'est jamais trop tard,

le dépistage systématique de toute la population française sans exception

TEST 2 copie.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans l'urgence absolu comme c'est le cas en France, le confinement de toute la population est très important surtout si on a fait dès le départ, ce choix en place et lieu du dépistage systématique.

Ce qui ne doit pas occulter le rattrapage ou le retour aux tests massifs, dans la mesure où miser trop sur le succès du confinement (comme son fond de commerce) pour espérer crier victoire contre le coronavirus, sans faire ces tests (sérologiques) et isoler les porteurs du virus, est une très grave erreur, c'est même une "bombe" à retardement (vagues de patients pour les hôpitaux).

La fuite fait partie des stratégies contre une catastrophe sanitaire.

L'humanité lutte contre une catastrophe 

Cependant, si on peut gagner des batailles ou limiter les dégâts en prenant la fuite (le confinement), on ne peut gagner le combat en prenant la poudre d'escampette dès lors que l'ennemi est hébergé gratuitement par notre corps durant cette fuite. 

IL N'Y A PAS QU'UNE STRATÉGIE DE CONFINEMENT,

IL Y A DES STRATÉGIES DE CONFINEMENT.

ET CHAQUE MODÉLE DE CONFINEMENT DOIT ÊTRE ACCOMPAGNER DE TESTS À GRANDE ÉCHELLE

 

Un confinement peut en cacher un autre 

              Chaque gouvernement s'adapte comme il peut

 

Le confinement tel qu'il est appliqué par la large majorité des gouvernements de la planète, et non tel qu'il avait été appliqué en Chine à Wuhan, confine les populations mais pas le virus Covid-19 car dans ce modèle, il y aura toujours des centaines de milliers de personnes habitants avec leurs familles dans les villes confinées, qui circuleront (les forces de l'ordre, les personnels soignants, personnels d'entreprises de fabrication et/ou de transport de produits alimentaires, personnels de la salubrité,.. ). Et la population aussi sort pour les achats de premières nécessité, pour les consultations médicales, pour le travail impossible à domicile ...et rencontre d'autres personnes.

Le virus ne se déplace pas seul, ce sont les personnes contaminées qui constituent son véhicule.

En Chine, c'est toute une ville de plusieurs millions d'habitants qui avait été mise en quarantaine stricte (personne ne sort de chez lui pendant deux mois). Au départ en fin décembre 2019, les autorités chinoises étaient débordées à Wuhan. Mais, très très vite, le gouvernement chinois depuis Pekin, avait mis tout en oeuvre au niveau de la logistique pour ravitailler jour et nuit toute cette population. Le personnel qui était chargé d'aller déposer la nourriture devant les portes des habitants de Wuhan, n'était pas de cette ville, il venait d'autres villes lointaines et il n'était pas contaminé. 

Également, le personnel soignant que Pékin avait envoyé dans un grand hôpital sorti très vite de terre en juste quelques dizaines de jours à Wuhan mais très loin des habitations, n'était pas de Wuhan mais d'autres villes non touchées par le Covid-19.

Le port du masque étant déjà encré dans la culture asiatique était et est toujours de mise pour tout le monde.

La Chine n'avait point testé toute sa population (1,5 milliard d'habitants) mais uniquement les personnels envoyés à Wuhan pour le ravitaillement alimentaire, pour contrôler le respect du confinement total et stricte, pour soigner dans le grand hôpital afin d'éviter que des personnes contaminées aillent s'occuper de personnes contaminées. La Chine avait ensuite maintenu dans ce grand hôpital uniquement les cas graves, les cas bénignes et asymptomatiques avaient été placés dans des hôtels, le reste de la population de Wuhan qui ne portait pas le Covid-19 avait été séparée des deux cas et placé ailleurs.

La Chine avait ensuite procédé à une désinfection à grande échelle de la ville de Wuhan (y compris les rues).

Ainsi, en deux mois, la Chine avait réussi, non pas à éradiquer la maladie mais à l'affaiblir très fortement à Wuhan pour protéger le reste du pays de la contamination. Le test progressif du reste de la population chinoise (en dehors de Wuhan) n'a débuté qu'après et il y avait des contrôles (tests, températures) quant à se déplacer d'une ville à l'autre. Le traçage qui est à l'origine un stratégie coréenne, est venu compléter tout ce travail en Chine.

A partir du mois de mars, la très large majorité des gouvernements de la planète (tous continents confondus) ont adoptés le confinement de toute leur population et s'attendent depuis, au même résultat que la Chine a eu en seulement deux mois.

Or, il ne s'agit pas du même modèle de confinement ni des mêmes règles qui avaient été imposées à la population de Wuhan.

Il sera difficile et voire impossible d'obtenir en Europe ou aux USA le même résultat que la Chine en deux mois sans prendre le risque de basculer dans un autre régime politique.

Cependant, il est possible d'avoir le même résultat chinois en deux mois et même mieux encore sans passer par le confinement de toute la population.

Exemple : la stratégie Coréenne qui consiste à tester et tracer toute la population, et ne confinés que les cas graves (dans les hôpitaux). Ce qui permet d'éviter le manque de matériels (lits, masques, respiratoires ... dans les hôpitaux).

 

Cela signifie qu'il y a plusieurs types de confinement, et qu'il y a aussi plusieurs stratégies à explorer et à combiner avec le confinement de la population qui n'est pas un traitement médical, mais une forme de politique de la terre brulée, c'est-à-dire une fuite très assumé et compréhensible pour limiter la casse dans la première bataille, alors que le cumul du dépistage biologique et sérologique est un affront à l'encontre du coronavirus.

Conjuguer les deux dépistages (biologique et sérologique)  avec le confinement, renforce nos armes et permet à la fois de mieux préparer la sortie de ce confinement et réduire sa durée. 

 

LE TEST BIOLOGIQUE

PRÉSENTE DES FAILLES

En effet, le test PCR (test biologique) en soi, est une photographie en un instant " T ".

Ce test biologique est effectué par prélèvement de sécrétions dans la narine et uniquement sur prescription médicale.

Ainsi, seules sont dépistées les personnes présentant des symptômes sévères de la maladie, comme des difficultés respiratoires ..., ainsi que les professionnels de santé en cas de suspicion. 

Le résultat permet de savoir si l'ARN du Covid-19 est présent dans l'organisme du patient au moment du prélèvement (à l'instant " T ").

Mais, ce test ne dit pas si le patient qui vient d'être testé négatif restera sero-négatif à vie ou s'il est immunisé contre le covid 19.

La médecine ne peut fournir aucune certitude qu'un patient testé négatif ne sera pas positif dans quelques heures ou dans quelques jours ou semaines, dès qu'il va entrer en contact avec des personnes qui sont des porteurs sains à leur insu, ou dès qu'il va toucher dans les heures qui suivent, des objets déjà contaminés (exemples : les barres de métro, la poignée d'une porte, une chaise, une table, un téléphone ...).

S'ajoute à tout cela, le fait que le test biologique n'est pas toujours fiable dans la mesure où le virus corona peut ne pas se trouver juste à l'entrée des narines mais plus au fond où le bâtonnet de prélèvement utilisé par le personnel soignant, ne peut atteindre. Le virus peut tout simplement se trouver à ailleurs dans le corps (exemple : les poumons).

Dès lors, le nombre réel de personnes contaminées (cas positifs) chaque jour ne peut être figé dans le temps.

Ce nombre réel de cas positifs en France y compris dans le monde, est insaisissable du fait de son caractère mouvant.

Or, les chiffres fournis (cas positifs) chaque jour par les médias et tous les gouvernements de la planète tendent à les donner un caractère stable comme s'ils découlaient d'un traçage systématique.

C'est cette instabilité permanente du nombre de cas positifs qui engendre ensuite des vagues parce que tout le monde n'est pas contaminé à la même minute et ne tombe pas malade au même moment.

D'où, l'importance en France et dans le monde entier, du cumul du test biologique et du dépistage sérologique (la prise de sang).

Ce fut, dès le début de cette épidémie, la stratégie Coréenne (Corée du sud) qui est souvent citée comme un exemple à suivre.

L'Allemagne, a d'ailleurs fini par suivre cet exemple coréen.

Encore faut-il que tous les pays de la planète aient les moyens de le faire (exemple : ceux d'Afrique qui ont décrétés le confinement à l'image de la majorité de ceux d'Europe). 

 

LE TEST SÉROLOGIQUE (TEST SANGUIN)

EST FIABLE

Le tests sérologiques (plus fiables que les tests biologiques) permettent de retrouver des traces d'anticorps produits par le système immunitaire en réaction au coronavirus.

Ainsi, la présence ou l'absence d'anticorps permet de savoir précisément qui a été contaminé, y compris des personnes ne présentant aucun symptôme, et qui n'a pas été en contact avec le virus.

Ces tests sérologiques permettent aussi, d'une part, d'informer individuellement telle ou telle personne qu'elle a pu être contaminée et qu'elle n'est plus porteuse du virus, et d'autre part, d'évaluer le degré de pénétration du Covid-19 dans les différentes régions françaises où il circule et donc savoir l'ampleur de la contamination sur l'ensemble du territoire.

Cependant, même si le cumul des deux tests (biologique et sérologique) a été effectué correctement pendant le confinement, les résultats et l'assurance qu'il fourni, ne sont tous valables que pour cette période de confinement parce qu'on avait choisi en France (y compris dans beaucoup de pays touché par le virus) au début de la pandémie, de commencer par confiner et ensuite tester progressivement, et non commencer par tester toute la population avant de confiner.

Cela signifie que la sortie du confinement ne sera pas aussi simple que çà. 

On ne pourra pas (en France) se baser uniquement sur les résultats du cumul des deux tests durant le confinement, même si ce cumul avait été fait sur tous les 67 000 000 de français (ce qui est loin d'être le cas) pour décréter le dé-confinement.

Certaines questions importantes qui n'étaient pas à l'ordre du jour lors de l'entrée dans le confinement, vont certainement surgir comme condition sine qua none et comme garantie pour décréter le dé-confinement.

Et si le gouvernement dé-confine à la hâte sans ses garanties, il prend le risque de re-confiner du jour au lendemain sa population qui à son tour peut ne plus supporter d'y retourner.

Toujours est-il que s'il est plus facile de confiner les animaux sauvage dans une cage tels des lions qui tourneront en rond toute la journée, il sera difficile voir impossible pour tous les états (qui ont choisi de confiner d'abord), de maintenir trop trop longtemps toute leur population en quarantaine chez elle.

D'où, l'importance de la préparation subtile au dé-confinement sans évoquer pour l'instant le dé-confinement total.

 MÊME EN L'ABSENCE D' UN VACCIN OU ENCORE D'UN REMÈDE,         

             

 

 

 

EST POSSIBLE SOUS RÉSERVE D'UNE BONNE STRATÉGIE

ET DES GARANTIES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

après toutes ces étapes (ci-dessus),

on décrète prudemment le :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CE DÉCONFINEMENT PROGRESSIF ET À GÉOMÉTRIE VARIABLE SERA TRÈS LONG

ET IL NE SIGNERA PAS LA FIN DU COVID-19.

L'ÉPIDÉMIE SURVIVRA, NOUS NE DEVONS PAS RELACHER

L' IDÉAL SERAIT DE COMPRENDRE QUE CHAQUE JOUR COMPTE ET QUE NOUS DEVONS TOUS PRENDRE NOS RESPONSABILITÉS CAR CETTE CRISE SANITAIRE INÉDITE AVEC SES MÉTASTASES (ÉCONOMIQUES, SOCIALES, POLITIQUES, PSYCHOLOGIQUES, COMPORTEMENTALES), VA DURER TRÈS LONGTEMPS, DE LONGUES ANNÉES ET LE RETOUR À LA VIE D'AVANT  SERA TRÈS DIFFICILE.

 

L'ÉPIDÉMIE VA SURVIVRE APRÈS LE CONFINEMENT NATIONAL DÉCRÉTÉ DANS CERTAINS PAYS !

CE QUI SIGNIFIE, QU'ELLE POURAIT REVENIR TANT QU' IL N' Y AURA PAS DE VACCIN !

AUCUN PAYS N'EST DONC À L' ABRI D'UNE 2IÈME VAGUE !

LA PRUDENCE EST DE MISE ! L' IDÉAL SERAIT DE NE PAS RELACHER LES GESTES BARRIÈRES APRÈS LE DÉCONFINEMENT, TANT QU'IL N' Y A PAS DE VACCIN OU TANT QUE L' ÉPIDÉMIE N' AURA PAS DISPARUE D' ELLE-MÊME.

 

L'HUMANITÉ EST ENTRÉ DANS UNE NOUVELLE ÈRE D'INCERTITUDES, D'HUMILITÉ, DE REMISES EN QUESTION DE TOUS LES MODÈLES DE CIVILISATION SUR TERRE. 

IL SE PEUT QUE LES CHOSES ÉVOLUENT VERS LA FIN DE LA PANDÉMIE. L'ESPOIR EST PERMIS.

MAIS, POUR L'INSTANT, IL VA FALLOIR SE RÉSOUDRE À S'ADAPTER, À VIVRE DANS CETTE NOUVELLE ÈRE AVEC DES SOLIDARITÉS NOUVELLES.

 

IL VA FALLOIR SE RÉINVENTER, ET RÉINVENTER ENSEMBLE UN AUTRE MODÈLE DE SOCIÉTÉ POUR CORRIGER LES ERREURS HUMAINES DU PASSÉ ET ÊTRE PLUS PRÉVOYANT, ANTICIPER, CHANGER LES PRIORITÉS DANS LES CHOIX POLITIQUES, ÉCONOMIQUES, SCIENTIFIQUES, INVESTIR PLUS DANS LE STRUCTUREL QUE DANS LE CONJONCTUREL. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De décembre 2019 à mars 2020, l'OMS a recommandé et martelé aux états de la planète :  tester, tester, tester et isoler à chaque fois les personnes contaminées.

Mais, 99,99% des états ont choisi de confiner d'abord leur population.

De mars à avril 2020, concernant le dé-confinement hâtif, l'OMS a mis en garde tous les états en affirmant que "le Covid-19 est 10 fois plus dangereux que le redoutable virus H1N1, et qu'il fallait attendre l'arrivé d'un vaccin pour dé-confiner".

Mais là encore, beaucoup d'états de la planète, après deux mois de confinement, se sont mis à dé-confiner leurs populations en prenant le risque de rassembler à nouveau, au nom des impératifs économiques, des millions de personnes malades (contaminées : cas critiques, cas graves, cas asymptomatiques qui sont à l'origine des 60% à 77% des contaminations) et des millions de personnes non malades (les séronégatifs) dans des écoles, lycées ... dans des entreprises.

Et tout cela sans avoir au moment de ce dé-confinement, les garanties médicales et les moyens nécessaires (les tests et les masques pour tous).

Et les quelques états qui ont acceptés de commencer les tests,, ont décidés de ne le faire que pour les personnes présentant des symptôme (cas critiques et cas graves). Ainsi, les asymptomatiques (80,9% des personnes contaminées) ne seront pas testés alors que c'est cette catégorie qui est à l'origine des 60 à 77% des contaminations (qui engendrent ensuite des vagues dans les semaines qui suivent).

L'illustration : 

 

Dans leur étude en pré-publication mise en ligne sur le site medRvix, des chercheurs avaient choisi de se concentrer sur deux foyers de l'épidémie Covid-19 : la ville de Tianjin, en Chine, et Singapour en Malaisie. Au 26 février 2020, 91 cas de Covid-19 avaient été signalés et confirmés à Singapour, et la ville de Tianjin en comptait 135 le 27 février.

Ils ont avaient découvert qu'à Singapour, 48% à 66% des transmissions étaient pré-symptomatiques, et ce taux augmentait de 62% et 77% à Tianjin.

Ils avaient ainsi conclu que plus de la moitié des transmissions du Covid-19 était dues à des patients sans symptômes (asymptomatiques).

Dès lors, dé-confiner trop vite en l'absence de vaccin, ne va t-il pas aggraver les contaminations qui pourraient devenir un suicide collectif et volontaire à l'échelle planétaire ?

La planète n'est-elle pas assez riche ou n'a t-elle pas accumulé depuis plusieurs décennies, assez de richesses pour que les états (riches et pauvres) puissent patienter et s'entraider (solidarité planétaire) jusqu'à l'arrivé d'un vaccin ?

L'IDÉAL SERAIT, EN FRANCE

-1) Fermer les écoles en premier lors du confinement et rouvrir ces écoles en dernier lors du déconfinement.

 

-2) Tester toute la population française sans exception y compris le gouvernement et les politiques. D'ailleurs, l'OMS avait martelé que les états ne pouvaient pas combattre la maladie avec les yeux bandés, c'est-à-dire sans savoir qui est contaminé ou pas et qui est immunisé ou pas.

La stratégie Coréenne (tester et isoler sans confinement générale) qui est citée comme meilleur exemple par l'OMS et tous les états de la planète, était basée sur le test de toute sa population et ensuite le traçage des malades. L'Allemagne a été la première en Europe à copier cette stratégie coréenne avec le traçage et ainsi elle n'a pas confiner toute sa population, et résultat, elle gère mieux que tous les autres états d'Europe.  

En France, on persiste à ne tester que ceux qui présentent des symptômes.

Or, 80,9% des porteurs du virus sont asymptomatiques et continuent depuis février 2020, de contaminer leurs proches et d'autres personnes. Parmis les asymptomatiques, il y a des adultes, des jeunes et aussi des enfants. Les enfants ou écoliers asymptomatiques résistent bien au virus mais ils transmettent ce virus à leur entourage (famille, école, amies, professeurs ...).

Dès lors, il ne faut pas s'étonner de l'arrivé de nouvelles vagues après le dé-confinement !

Pire encore, il a été démontré clairement dans les études des chinois en février, dans celles de Singapour, dans celles de la Corée du sud, que les personnes sont contaminées bien avant l'apparition des symptômes ! Dès lors, attendre que des millions de français soient contaminés à leur insu et qu'une infine partie de ces gens développent des symptômes, pour commencer à tester que cette infine partie et non raisonnablement tout le monde, équivaut à attendre que le feu s'empare de la maison (tout en sachant qu'il y avait un combustible et une source de chaleur pour créer une incendie) pour jouer aux pompiers après le départ de cette incendie.

-3) Séparer les français contaminés des français non-contaminés jusqu'à l'arrivé d'un vaccin.

Séparer aussi les différents cas (critiques, graves, bénignes ou asymptomatiques).

-4) Placer en quarantaine stricte dans les hôpitaux, uniquement les cas critiques. Ces cas représentent 4,7% des malades (pronostic vital engagé). Ce qui permettra de ne plus avoir un manque criant de lits, de masques, de respiratoires, de médicaments. Les cas critiques constituent le haut de la partie visible de l'iceberg (l'épidémie).

-5) Placer dans des hôtels, les cas graves qui représentent 13 à 14% des contaminés. Ces cas qui peuvent devenir à tout moment des cas critiques et entrer en réanimation à l'hôpital, constituent le bas de la partie visible de l'iceberg.

Puisque nous sommes dans l'État d'urgence sanitaire, puisque l'OMS elle-même avait déclaré l'état d'urgence planétaire, puisque tous les hôtels sont à l'arrêt, pourquoi la France n'a pas réquisitionné tous les hôtels (de 1 jusqu'à 5 étoiles) y compris les palaces pour les transformer en hôpitaux d'urgence pour désengorger les hôpitaux publics et loger les centaines de milliers et voire de millions de français contaminés ?

 

-6) Placer dans des bâtiments ou immeubles inoccupés de l'État, les cas asymptomatiques ("porteurs sains et contaminants invisibles") qui représentent 80 à 81% des contaminés, c'est-à-dire, la partie immergée ou cachée de l'iceberg (l'épidémie). Les asymptomatiques sont invisibles parce que ce sont des millions de personnes qui se porte bien, travaillent ou pas, étudient, enseignent, ... Ce sont les asymptomatiques qui sont selon l'étude chinoise de février 2020, et aussi l'étude de Singapour, à l'origine de 60% à 77% des contaminations à leur insu et à l'insu de tous. C'est aussi les asymptomatiques qui accélère involontairement la naissance des vagues.

-7) Tracer uniquement les personnes contaminées (cas critiques, graves, asymptomatiques) et non toute la population. Parmi les asymptômatiques, il y a des adultes et surtout des enfants (écoliers ou élèves).

-8) Distribuer gratuitement à toute la population, les masques chirurgicaux qui protègent et non les masques grand public qui ne ne protègent pas du Covid-19. Le masque grand public ou artisanal est une grande illusion qui ne va pas stopper la contagion. Si ces masques artisanaux sont efficaces, pourquoi les soignants, et surtout les politiques et les personnes aisées ne portent point ces masques mais les recommandent à la population qu'ils sacrifient ?

Il faut imposer le port des masques chirurgicaux partout à tous les français jusqu'à l'arrivé d'un vaccin ou remède. Imposer la distanciation sociale partout sans exception. Cela signifie que nous devons malheureusement apprendre à vivre avec le covid-19 sur la planète.

Ne surtout pas dé-confiner les écoliers, élèves et étudiants sans avoir distribué gratuitement des masques chirurgicaux aux parents, aux enseignants et à ces élèves et étudiants.

Des millions de personnes y compris des familles sont dans la précarité et ce n'est sans doute pas en plus le grand chômage de masse engendré par le Covid-19 qui va arranger les choses !

Dès lors, si le masque est payant en pharmacies ou dans des commerces, des millions de gens n'auront pas accès et cela va augmenter les risques de contaminations qui à leur tour, vont engendrer des vagues d'élèves, d'écoliers, de parents, de professeurs dans les hôpitaux qui, on le sait bien, n'ont pas assez de lits et de médicaments.

Et pourquoi on a pas réquisitionné toutes les grandes entreprises (automobiles, cosmétiques, électro-ménagers, de trains, aéronautiques, fluviales ...) pour fabriquer des masques, protéger la population et sauver des vies ? Pourquoi les milliardaires et millionnaires français y compris ceux qui ont leur fortune dans des paradis fiscaux, ne se mobilisent pas pour acheter des masques pour la population française ? Où est leur solidarité pour la cause humaine et nationale ? Pourquoi l'industrie pharmaceutique qui est multi-milliardaires, ne contribue pas à produire et donner gratuitement des masques à la population que de vendre des masques pour s'enrichir sur la misère en période de catastrophe sanitaire ? Où est sa solidarité ?

-9) La planète est assez riche pour que tout le monde puisse vivre dignement jusqu'à l'arrivé d'un vaccin. Le Covid-19 nous envoie un message subtile : le partage égalitaire des richesses de la planète et de la nation. Le virus teste notre humanité entre humains. Il nous demande de changer notre modèle de société et de civilisation gangrenés par le tout économique.

Les milliardaires et millionnaires français devront entendre ce message et se joindre à l'état français pour mobiliser des moyens colossaux à tous les niveaux afin que tous les parents, les élèves, étudiants, enseignants, salariés, chômeurs, SDF qui peinent à vivre puissent vivre dignement et que les loyers et tracasseries administratives soient suspendus provisoirement jusqu'à l'arrivé d'un remède ou vaccin.

-10) Dé-confiner totalement tous les français séronégatifs et tous les français dont le test sérologique a indiqué qu'il étaient immunisés et ne pouvaient plus transmettre le virus.

Et comme l'immunité n'est pas encore scientifiquement prouvée, et qu'il n'y a pas encore de vaccin ni de remède au Covid-19, il faut se contenter du maintient du télétravail (là où c'est possible), du télé-enseignement, des achats en ligne ou drives pour les achats impossibles dans les commerces physiques où la distanciation sociale n'est pas possible.

 

-11) L'idéal serait que le grandes fortunes arrêtent de s'enrichir sur la misère et la pauvreté en période de pandémie.

Au nom de l'humanité et de la solidarité, l'idéal serait que l'industrie pharmaceutique qui possède déjà des milliards d'euros à couper le souffle, arrête purement et simplement de s'enrichir et utilise tous ses moyens aux côté de l'état, pour fournir des gratuitement des médicaments aux hôpitaux et à tous les malades : médicaments gratuits pour tous jusqu'à l'arrivé d'un vaccin. Ce n'est ni impossible  ni utopique, c'est parce que notre modèle de civilisation fondé sur le profit et toujours le profit ne le veut pas !

Or, le Covid-19 et d'autres pandémies qui surviendront certainement tôt ou tard, finiront par bannir justement notre modèle de société qui met en avant l'argent et le profit même en période de misère et pandémie, et relègue l'humain derrière.

 

-12) Le parlement doit continuer à vivre.

L'état d'urgence sanitaire décrété en France, met entre parenthèse la démocratie et vise à laisser tout le pouvoir entre les mains de l'exécutif.

Or, s'il n'y a pas de contre pouvoir ou si le parlement est absent, la démocratie est asphyxiée.

On nous parlait de guerre ! De guerre, de guerre ! 

Or, nous ne sommes point en guerre, nous sommes face à une catastrophe sanitaire qui teste notre humanité et notre capacité à remettre en cause notre modèle de société.

Et même en supposant que nous sommes en guerre, la situation est bancale et ne cadre point avec la démocratie !

En effet, pendant la Première guerre mondiale, le Parlement continuait à vivre et à contrôler l'action de l'exécutif.

Or, face à la pandémie du Covid-19, le pouvoir du parlement qui est l'essence même de la démocratie est amoindri et voire absent dans les décisions qui concernent la vie de la nation.

-13) La confiance perdue en l'exécutif par les français, torpille les plans du gouvernement.

En effet, les mensonges originels sur les masques et ensuite sur les tests, jusqu'au plus haut sommet de l'État, ne sont pas de nature à empêcher la naissance de frondes de tous genres contre les mesures préconisées par l'exécutif pour lutter contre le Covid-19.

S'ajoute à tout cela, jusqu'au sommet de l'État, les injonctions contradictoires et quotidiennes assaisonnées de confusions devenues le sparadrap du capitaine Haddock qui colle à la peau du plan de déconfinement.

Exemples : la cacophonie perdurant sur l'absence de masques et ensuite le prix. Le fait de rendre le port du masque obligatoire sous peine d'amende, alors qu'on avait martelé pendant trois mois à la population qu'ils étaient inutiles ! L'absence de tests massifs sérologiques pour identifier tous les porteurs du virus et les isoler du reste de la population testée séronégatif. Le fait de marteler que les personnes soi disant "guéries" sont "immunisées" sans en avoir la preuve scientifique (ce qui a d'ailleurs été démenti par l'OMS).

L' idéal serait de retrouver cette confiance perdue.

Sans confiance, il n'y a pas d'adhésion, et sans adhésion, il n'y a pas de civisme.

Or, ce civisme de chacun et de tous est capital dans la lutte contre le Covid-19 pendant et après le déconfinement qui sera très long.

 

LA FIN DU CONFINEMENT N'EST PAS SYNONYME DE LA DISPARITION DU VIRUS DANS AUCUN PAYS NI DANS LE CORPS DES PERSONNES CONTAMINÉES.

LA SORTIE PROGRESSIVE DU CONFINEMENT N'EST PAS LA FIN DE LA CONTAGION ET AUCUN PAYS N'EST À L'ABRI DE NOUVELLES VAGUES !

 

Il est certainement plus facile pour tous les états de la planète de décréter le confinement que d'en sortir avec toutes les garanties qu'il n'y aura pas de nouvelles vagues.

L'idéal serait le dé-confinement par étapes ou progressif.

Pour dé-confiner sans prendre le risque de re-confiner, et donc sans prendre le risque de frustrer à nouveau la population qui souffre déjà psychologiquement et économiquement le martyr à cause du confinement, il faut se poser des questions importantes qui n'étaient pas forcément à l'ordre du jour à l'entrée du confinement

Exemples de problématiques que pourrait soulever le dé-confinement :

D'abord, en rappel, toute la planète sait que la grippe saisonnière est périodique c'est de novembre à janvier grosomodo, et ce n'est pas le sujet ici.

 

-1) Pour le cas du virus Corona, la communauté scientifiques, les médecins, les gouvernements... savent-ils  avec certitudes si ce virus inconnu ou dont on ne sait que peu de choses pour l'instant,  est ou pas périodique, et s'il est périodique à l'image d'une suite arithmétique sait-on la raison permettant d'en déduire le suite, ou sait-on de quand à quand pour pouvoir dé-confiner entre deux périodes afin de prendre le temps de mieux se préparer pour l'empêcher de revenir la prochaine fois ou au moins l'empêcher de faire plus de dégâts ?

Exemple concret : A supposer qu'un gouvernement quelconque sur la planète, rassure sa population ou lui dise ou lui promet que le dé-confinement débutera précisément en mois de mai ou juin ou juillet et pire encore s'il précise le jour exacte, et que par la suite (par exemple 2 ou 3 ou 6 semaines après), ce même gouvernement se retrouve face l'arrivé de nouvelles vagues ou tsunamis de patients contaminés devant les hôpitaux, la reste de la population qui a déjà souffert psychologiquement et économiquement le martyr durant le premier confinement va t-elle accepter d'être re-confiner ?

 

- 2) Les personnes qui avaient été controlées "séro-négatifs" au coronavirus durant le confinement ou bien avant, sont-elles restées toujours "séro-négatifs" ou sont devenues entre temps "séro-positifs" ?

- 3) Les centaines de milliers de personnes qualifiées de personnes "guéries" et sorties des hôpitaux, sont-elles restées définitivement guéries et immunisées (chez elles durant le confinement) contre le retour du coronavirus (la durée ou l'efficacité de l'immunité), tout en sachant qu'il n'y a pas encore, nul part au monde, de remède ni de vaccin officiellement homologué et validé par la communauté scientifique de la planète ?

Autrement dit, la médecine a t-elle la certitude que ces centaines de milliers de personnes dites "guéries " qui étaient retournées à coeur joie chez elles, n'avaient pas été re-contaminées par leurs proches qui étaient déjà contaminés à leur insu, et avec qui elles avaient vécu durant le confinement sans masque à la maison (contaminations intra-familiales) ?

La pertinence de cette question tient au fait que chez certains individus, les anticorps supposés protéger d'une prochaine ou deuxième infection, avaient facilités au contraire le retour du virus.

Ce fut notamment le cas du coronavirus SRAS-Cov (en 2002-2003) et du coronavirus MERS-Cov (en 2012) qui sont tous les deux des proches cousins (même famille) du virus du Covid-19 , sur lequel on a encore peu de certitudes.

Dès lors, la prudence et le bon sens ne sont-ils pas de mise quant à affirmer avec certitude sur certains plateaux de télé que les personnes dites "immunisées" par leur anticorps ne peuvent plus être contaminées ? 

La vidéo ci-dessous et ensuite le communiqué de l'OMS illustrent que la prudence est de mise quant à avoir la certitude que les personnes dites "immunisées" sont hors d'affaire.

               Le Président du Conseil Scientifique          

                                                    

 

Pour l'OMS, il n'y a pas encore de preuve d'immunité, et la délivrance de "passeports immunitaires" risque de favoriser la propagation continue de la pandémie :

"Il n'y a actuellement aucune preuve que les personnes qui se sont remises du Covid-19 et qui ont des anticorps soient prémunies contre une seconde infection. Aucune étude n'a évalué si la présence d'anticorps au SARS-CoV-2 confère une immunité contre une future infection par ce virus chez les humains" a indiqué l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un communiqué, le 24 avril 2020,

Dès lors, le fait de marteler chaque jour en France à la télé que des centaines de milliers de personnes sont sorties "guéries" des hôpitaux n'a aucun sens, aucune valeur scientifique car le terme "guérie" signifie "immunisé". Il n'y aucune preuve scientifique ou médicale d'immunité contre le Covid-19 !

L'OMS, c'est 7000 travailleurs et 150 états représentés dont la crème des scientifiques et chercheurs !

Ce communiqué (ci-dessus) de l'OMS qui remet en cause la certitude de "personnes guéries" ou "personnes immunisées", était adressé aux états européens (exemple : l'Allemagne) qui comptaient distribué des "passports immunitaires" pour permettre aux gens de circuler librement.

 

- 4) Avons-nous en France, la preuve scientifique que les personnes "guéries" ne peuvent plus être des contaminants (c'est-à-dire qu'elles-mêmes ne peuvent plus transmettre le virus) ?

- 5) Sait-on exactement combien de français ont développés des anticorps efficaces (immunité définitive) pour les exempter de tout confinement (avec ceux qui n'ont jamais contracté le virus) ?

- 6) Avons-nous en France, assez de masques pour toute la population française ou pouvons-nous produire ou acheter la quantité de masques nécessaires pour accompagner le dé-confinement, dans la mesure où ce dé-confinement n'est pas synonyme de la fin du risque de vagues de contamination qui à leur tour, pourraient engendrer des nouvelles vagues de patients dans les hôpitaux qui n'en peuvent plus du manque de moyens matériels et humains ?

- 7) Après le dé-confinement (sans vaccin), il évident que beaucoup de pays (à cause des pertes économiques exponentielles constantes) vont finir par ouvrir progressivement leurs frontières et autoriser les voyages, le tourisme, l'ouverture des commerces ...

Dès lors, quel plan, quelle mesures de précaution nationale et internationale pour éviter l'importation de nouveaux cas entre régions, entre pays, entre continents ?

Si on a les réponses à ces questions, l'idéal serait ensuite, avant de décréter le dé-confinement :

- s'il y a des français qui ont déjà contractés le virus corona sans succomber et ont produit des anticorps efficaces (immunité définitive) l'idéal serait d' utiliser les anticorps de ces personnes dans les laboratoires (pour fabriquer un vaccin contre le Covid-19). Ainsi, on a pas besoin d'attendre forcément l'arrivé d'un remède ou vaccin pour dé-confiner ces personnes, on a simplement besoin de récupérer les anticorps.

 

- Tracer tous français qui portent le virus et ne sont pas immunisés pour suivre l'évolution de leur cas et en permettant à tous les français immunisés et ceux qui n'ont jamais contractés le virus, de savoir, à travers un logiciel ou une application télé-chargeable sur le téléphone portable, dans les rues, chez eux, au travail, où sont en temps réel, les personnes dites "contaminants" pour pouvoir éviter leur rencontre ou leur contact rapproché ou prolongé.

Ainsi, chaque français applique la distanciation sociale, sa responsabilité individuelle (de protéger sa vie) en temps réel, et ainsi, l'état n'aura plus besoin de mettre des policiers dans les rues pour contrôler le respect des mesures ni sanctionner (les amendes), et ces policiers n'auront plus à risquer leurs vies pour être contaminés.

- Confiner en quarantaine stricte (dans des hôpitaux ou des camps quitte faire appels à l'armée) uniquement tous les français qui sont des cas graves.

- Dé-confiner totalement (libres) tous les français immunisés et tous les français qui n'ont jamais contractés le virus. Encore faut-il avoir la certitude, bien avant, que les premiers sont désormais "non contaminants" et donner cette information à toute la population sur l'application ou le logiciel de traçage auquel toute la population devra avoir accès sur son téléphone.

- Exiger en revanche, et sous peine d'amendes, que tous les français dé-confinés portent des masques à tout moment et partout, jusqu'à la découverte d'un antidote ou un vaccin reconnu mondialement et efficace.

 

C'est dire, au regard des incertitudes, que l'humanité est loin d'être sortie de l'auberge.

 

Si on dé-confine tout d'un coup, sans avoir ces multiples garanties évoquées, il y a la crainte ou risques de nouvelles vagues partout en France et sur toute la planète, du fait que presque tous les états ont appliqués le même schéma de guerre (à l'exception de la Corée du sud) contre le virus corona, c'est-à-dire, le confinement en premier et ensuite l'amorce du dépistage (biologique et sérologique) et ensuite le traçage.

Cette crainte de nouvelles vagues possibles (après dé-confinement) relativise l'idée selon laquelle la Chine qui est citée et perçue comme étant le pays qui aurait gagné le combat et non la bataille contre le coronavirus.

La Chine et la Corée du sud ont certainement gagné aux sus et aux vus de tous, des batailles contre le coronavirus, mais il est prématuré pour l'instant de croire qu'elles ont réussi à éradiquer (définitivement) le virus dont ils n'en savent pour l'instant que peu de choses.

En l'absence de vaccin ou de remède (comme c'est le cas), tant qu'il restera une seule personne contaminée sur la planète par le Covid-19, et que cette personne vivra en société ou entrera en contact avec d'autres personnes, ou touchera des objets quelconques que d'autres personnes toucheront, l'épidémie n'est pas encore vaincue.

Et nul ne sait, pas même la communauté scientifique mondiale, si ce virus corona va muter ou va créer d'autres complications inédites, du fait que les connaissances scientifiques sur ce virus ne sont, pour l'instant, qu'à l'ère du balbutiement.

D'où :

- les zig zag tels que les rétropédalages après avoir rassuré les populations pendant deux mois (janvier-février 2020) qu'il s'agissait de grippette, que la maladie ne concernait que les personnes âgées,

- une forme de "guerre froide" entre certains laboratoires,

- le fait que le personnel de certains laboratoires sont positifs au virus corona,

- un conflit à l'échelle mondiale entre la méthode et l'urgence thérapeutique (Chloroquine),

- des protocoles contestés jusqu'à l'OMS, 

- des stratégies contradictoires partout,

- des médecins qui font cavaliers seuls et qui, au nom du serment d'Hippocrate, se disent que le risque en vaut la chandelle,

- des états qui se disent qu'il ne faut pas que le remède soit plus pire que le mal,

- la cacophonie galopante et voire les divisions quotidiennes au sein de la communauté scientifique, que nous pouvons tous comprendre, du fait que toute la planète a été pris de court face à un ennemi inconnu que beaucoup de pays, de médecins, de chercheurs avaient sous estimés de décembre 2019 à mars 2020.

Non seulement toute la planète avait sous estimé le virus mais personne n'avait vu venir le tsunami.

Et pour causes, le coronavirus est comme un prisme dont les chercheurs et médecins découvrent chaque jour, un de ses multiples facettes en termes de symptômes :

- des symptômes respiratoires (plus connus)

- des symptômes digestives (fièvre et diarrhées)

- des symptômes cardiaques

- des symptômes musculaires

- des symptômes auditives

- des symptômes oculaires,

- des symptômes neurologiques et mêmes dermatologoliques ou cutanés selon certains chercheurs, etc.

Bref, chaque jour, chaque semaine, suffit sa découverte, son espoir, son désespoir, ses contradictions à l'échelle planétaire.

Laquelle situation fige les populations du bateau "l'humanité" sans boussole, de sortes que ni les personnes dites "guéries", ni les médecins ne peuvent affirmer avec certitude, que les premières sont guéries de la chloroquine, ou des anticorps ou d'autres traitements palliatifs.

L'idéal serait, avant de prétendre commencer à dé-confiner progressivement, de tracer d'abord toutes les personnes qui hébergent le virus (cas symptomatiques et asymptomatiques) et donc, le test sanguin de toute la population au préalable.

I.jpg

L'importance du cumul du dépistage biologique et sérologique avec le traçage de tous les cas positifs en France

pour mieux préparer la sortie

du confinement

COR.jpg

LA SORTIE

DU CONFINEMENT

TEST 2 copie.jpg
T.jpg
AU2CONFINE.jpg
TEST 2 copie 3.jpg
40T copie.JPG
Hotel.jpg
BAT ÉTAT.jpg
T.jpg
MASQ 2.jpg
MASQ 2.jpg
MASQ 2.jpg
DISTANCIAT.jpg
NLLAVAGEMAIN.jpg
FAMILLE COVID.jpg

GRATUITS POUR TOUS

TÉLÉ W copie 2.jpg
ECOLE.jpg
VAC.jpg
COR.jpg

LE TRAÇAGE DE TOUTES

LES PERSONNES CONTAMINÉES EN FRANCE

T.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 31 janvier 2020, donc trois mois avant que l'épidémie se transforme en pandémie, le comité d'urgence de l'OMS avait clairement recommandé à tous les états ceci :

"Mettre en place des mesures fortes pour détecter la maladie à un stade précoce, isoler et traiter les  cas, retracer les contacts et promouvoir des mesures de distanciation sociale proportionnelles au risque".

Dans cette recommandation urgente, il est clairement mentionné : "retracer les contacts" (qui signifie, tracer les porteurs du virus et leurs contacts).

LE TRAÇAGE N'A DE SENS

QUE SI TOUTE LA POPULATION FRANÇAISE

SANS EXCEPTION A PRÉALABLEMENT ÉTÉ :

- 1)TESTÉ (TEST SANGUIN) POUR IDENTIFIER LES PORTEURS (CAS SYMPTOMATIQUES ET ASYMPTOMATIQUES) DU VIRUS ET LES NON PORTEURS DU VIRUS 

2) ISOLER EN QUARANTAINE STRICTE) TOUS LES PORTEURS DU VIRUS (CAS SYMPTOMATIQUES ET ASYMPTOMATIQUES), DANS LES HOPITAUX, LES HOTELS, LES BÂTIMENTS INOCCUPÉS DE L'ÉTAT, LES GRANDES SALLES DE CONCERTS, LES STADES DE FOOT  

Le traçage systématique (des patients) cumulé aux deux tests (biologiques et sérologiques)

 

La Corée du Sud a, depuis janvier 2020, le plus bas taux de mortalité parmi les nations touchées par le coronavirus et l'épidémie semble disparaître petit à petit.

Le tout sans mesures de confinement drastiques comme c'est le cas actuellement dans presque tous les pays de la planète, dont l'Inde, l'Italie, l'Espagne, la France, certains états aux USA, la plus part des états en Afrique ...

 

Cependant, le problème que pose le traçage des citoyens atteints du coronavirus en Europe, est l'atteinte à la vie privée.

 

 

Et même si le traçage n'est pas encore à l'ordre du jour en France ni dans beaucoup de pays d'Europe, il peut être utile après la fin du confinement pour mieux se préparer à faire face à de nouvelles vagues qui pourraient advenir, dans la mesure où nul ne sait avec certitude, si les centaines de milliers de personnes testées "négatifs" pendant le confinement, sortiront tels ou sortiront "positifs" pour contaminer d'autres personnes.

 

Le traçage est aussi l'une des solutions (durant le confinement et après le confinement) pour pallier à la pénurie criante de personnels soignants et de masques que connait traverse la France.

Le traçage permet aux personnels soignants de se concentrer sur les graves et donc d'éviter la saturation des hôpitaux, et de laisser aux citoyens, le soin de contrôler leurs déplacements, leurs rencontres avec des cas positifs dans les rues, les magasins, dans les transports, lors des concerts, dans les restaurants, au travail, à l'université, à l'école ...

Ce qui revient à la fois, à responsabiliser (individuellement) chaque citoyen sans le confiner chez lui, et à alléger le travail des policiers qui n'auront plus à faire des contrôles pour savoir qui a une attestation de sortie, ou qui respecte ou pas les mesures de précaution.

Le traçage permet également de maintenir l'activité économique normale du pays à tous les niveaux, et sans fermer les universités, les écoles, les bars et restaurants. Cela est important dans la mesure où nul ne sait jusqu'à quand le retour de l'état providence en France va tenir et à quel prix, surtout que nous savons tous que le combat ne fait que commercer et qu'elle sera longue. 

Enfin, le traçage est rassurant parce qu'on sait si on porte ou pas le virus, et si les personnes qu'on rencontre portent ou pas ce virus.

Dès lors, le traçage réduit et voire empêche la contamination des gens à leur insu, mais au prix certes de la violation de certaines libertés et droits (exemple : la violation de la vie privée de chacun et chacune).

 

Synthèse et Exemples concrets sur les différentes stratégies dont celle de la Corée du sud :

Le confinement à la chinoise à Wuhan était un confinement "hard" (total : personne ne bouge de chez lui pendant deux mois, le gouvernement vient ravitailler jour et nuit chaque personne devant sa porte). D'où, l'absence de vagues durant deux mois.

Le confinement à l'Européenne et américaine (USA) est un confinement "soft" (partiel : les populations sortent pour travailler, pour acheter à manger, pour se soigner, pour faire du sport ...). D'où, la présence des vagues qui viennent saturer les hôpitaux durant le confinement et à fortiori, qui pourraient advenir aussi pendant le dé-confinement.

La Corée du sud n'a jamais confiné toute sa population mais uniquement les cas graves, ainsi elle n'a jamais connu de manque de matériels ni de débordements des hôpitaux, elle avait choisi comme arme fatale les tests rapides (en 24h) de toute sa population + traçage "hard" des personnes contaminées avec attribution de couleurs (rouge, jaune, vert) selon que vous êtes un contaminant potentiel à éviter de rencontrer, un nouveau cas positif moins grave mais à éviter, un séronégatif) .

Ce traçage "hard" = géolocalisation des téléphones + violation du secret médical et de la vie privée des malades (risque de stigmatisation), au nom de la sauvegarde de la santé de tous. 

Et si une personne refuse d'être tracé en Corée du sud, la sanction est sans appel : peine de prison + 3 000€ d'amende.

Mais, malgré toutes les critiques, toute la planète est unanime sur plusieurs points : la Corée du sud a su anticipé, elle a eu la meilleure stratégie et le meilleur résultat, elle n'a pas eu un problème de vagues ni de moyens, elle n'a pas eu un problème dé-confinement ni de masques, ni de lits, puisqu'elle n'avait pas confiné toute sa population mais uniquement les cas graves, son économie a continué à tourner, les écoles et les universités ainsi que les commerces n'ont pas été fermés. 

L'Allemagne, après son entrée dans le confinement "soft" de sa population, avait ensuite copié très vite cette stratégie coréenne en cumulant le dépistage massif et rapide (biologique et sérologique à grande échelle de sa population) et le traçage des malades pour préparer le dé-confinement futur.

C'est la raison pour laquelle, l'Allemagne est souvent cité comme l'un des états d'Europe qui s'en sort mieux et voire même le seul qui a pris de l'avance grâce à la méthode coréenne.

Même la Chine qui avait mis en avant le confinement comme son fond de commerce, pendant presque deux mois, avait fini, vers les dernières semaines de ce confinement, par appliquer la méthode coréenne : les tests (biologique et sérologique) et le traçage "hard" qui lui ont permit de préparer progressivement sa sortie du confinement total à Wuhan.

Mais, le problème récurrent en Europe (dit "continent des droits de l'homme et des libertés"), est qu'on ne veut pas d'une idée ou stratégie quelconque qui provient des états perçus comme étant des dictatures ou du moins des états ayant un régime qui est à l'aune du respect des libertés ou du modèle occidental de l'état de droit.

Or, il se trouve que la poignée d'états qui ont mieux géré la pandémie du Covid-19 sans pouvoir l'éradiquer, sont pour la plus part, des dictatures ou des pseudo démocraties ou semi-démocraties !

C'est un fait indiscutable sous les yeux de toute la planète.

Que les dictatures réussissent là où les démocraties échouent ou peinent à s'en sortir, est une pullule antalgique qui ne passe pas et pourtant la migraine persiste !

D'où, le refus de la plus part des états d'Europe (à l'exception de l'Allemagne), d'adopter le traçage pour mieux contrôler l'évolution de la pandémie et suivre les malades.

Et l'Allemagne n'a pas fait chou blanc, elle est sans doute l'état qui a pris de l'avance en Europe avec les tests massifs et le contrôle (traçage) des malades.

Après avoir pris de l'avance, l'Allemagne s'est lancé à toute vitesse dans la recherche d'un vaccin.

Traçage à la coréenne ou pas contre les prochaines vagues du Covid-19 après le dé-confinement, nous sommes presque tous sur la planète déjà tracé certes pas avec des cameras en temps réel mais autrement et subtilement depuis des décennies à travers la téléphonie (les abonnements), les réseaux sociaux (Facebook, tweeter, Instagram ...), les cartes de fidélité commerciale et les achats en ligne avec livraison à domicile, les réservations de concerts, de festivals, de voyages, de matchs de foot, les abonnements aux chaines de télévision (canal + ...), et enfin la gigantesque base de nos données privées que possède tous les hôpitaux et pharmacies. 

 

Exemples plus concrets que nous sommes presque tous tracés d'une façon ou d'une autre : on n'a les "géants du Web", ou parfois "géants du numérique", qui désignent la quinzaine d'acteurs d'Internet d'envergure mondiale, dont (par ordre alphabétique), Airbnb, Alibaba, Amazon, Apple, Facebook, 

Google, LinkedIn, Microsoft, Netflix, Twitter, Uber, Yahoo, etc..

A ce niveau, personne ne cri au scandale parce que ce n'est pas l'état en tant tel qui agit et accumule nos données privées et voire même s'enrichie avec en bourse !

Ainsi, ce qui crée fondamentalement un problème ou déferle les passions dans la question du traçage, c'est l'état !

En effet, si Facebook ou Google ou Amazon ou Yahoo ..., viole ou empiète de trop sur nos libertés, nous pouvons, même si c'est assez rare au regard des conditions, les assigner en justice qui peut les sanctionner et l'état aussi (et même l'Europe) défendra les droits de sa population en rappelant ces géants du web à l'ordre.

Mais, si c'est l'état qui obtient (dans une démocratie) le droit de tracer toute sa population, quelque soit la raison, avec des caméras ou pas, cela suscite plus d'inquiétudes !

En effet, on ne veut pas être transparent envers l'état comme on le fait volontairement avec les géants du web.

Chacun veut préserver sa part d'opacité vis à vis de l'état, ce qui est en soit un droit indiscutable dans une démocratie.

Et le vrai nerf du problème réside sur le fait que si l'état réussi à nous enlever une liberté, il nous faut non pas seulement des grèves ou manifestions, mais des révolutions pour pouvoir reconquérir cette liberté !

D'où, une crainte légitime, compréhensible et plus élevée, que ce soit l'état qui trace la population.

Toujours est-il que dans notre monde moderne, la personne qui n'est pas tracé subtilement, est celle qui n'a pas de téléphone, de pièce d'identité, de compte bancaire, de mails, d'ordinateur, de compte sur un réseau social, sur un site web ... bref, qui vit dans un monde que certains qualifient des fois par exagération de "l'âge de glace ou du néolithique".

Et toute l'humanité a compris qu'elle doit apprendre à vivre avec le Covid-19 qui pourrait, après le dé-confinement et l'absence de vaccin et de masques pour tous, engendrer des hausses spectaculaires de contamination et engendrer de nouvelles vagues de patients qui pourraient submerger les hôpitaux.

Pour éviter la hausse des contaminations qui engendrent de nouvelles vagues, encore faut-il, après les tests massifs et l'isolement des cas critiques et graves (dans les hôpitaux et hôtels), tracer les porteurs (asymptomatiques) du virus (qui représentent 80,9% des contaminés selon l'étude chinoise de février 2020 que l'OMS avait martelé) pour responsabiliser tout un chacun dans ses rencontres.

Faut-il rappeler encore que le 31 janvier 2020, le comité d'urgence de l'OMS avait clairemement recommandé à tous les états ceci :

"Mettre en place des mesures fortes pour détecter la maladie à un stade précoce, isoler et traiter les  cas, retracer les contacts et promouvoir des mesures de distanciation sociale proportionnelles au risque".

 

Le fond de cette recommandation est :

- 1) Détecter la maladie. C'est tester toute la population au stade précoce et donc pas uniquement ceux qui présentent des symptômes,

- 2) Isoler et traiter les cas. Il y a trois cas, ce sont toutes les personnes porteuses du virus (cas critiques, cas graves, cas des porteurs asymptomatiques).

- 3) Retracer les contacts. C'est le traçage des malades (et leurs contacts)

- faire respecter la distanciation sociale

Sauf que sur toute la planète, seule la Corée du sud avait respecté à la lettre toute cette recommandation dès janvier 2020 avant que le Covid-19 ne se propage à la vitesse de lumière et devienne une pandémie au mois de mars 2020. Et ç'a bien marché en Corée du sud où l'épidémie n'a pas été éradiqué mais a tès vite été stoppé avec TESTS + TRAÇAGE

Les états européens se sont réveillés après le 7 mars 2020 et ont tous commencé un à un à confiner d'abord toute leur population sans test sans traçage.

Ainsi, là où l'OMS avait recommandé en premier le test de toute la population, les états européens avaient préféré tester tardivement et uniquement les malades symptômatiques alors que les porteurs asymptomatiques sont les plus nombreux (80, 9% des contaminés). L'Allemagne avait ensuite rectifié très vite le tire en faisant des tests massifs + traçage.

Là où l'OMS avait recommandé d'isoler uniquement les malades (tous les porteurs du virus) et les traiter, les états avaient choisi de confiner toute leur population !

Là où l'OMS avait recommandé le traçage des malades et leurs contacts, presque tous les états européens avaient perçu cela comme étant non pertinent ou contraire à la démocratie et au respect des libertés (Seule l'Allemagne a tracé uniquement ses malades et non toute la population comme se fut le cas en Corée).

Certes, le traçage n'est pas la seule option mais elle permet à chaque état qui en a les moyens, de mieux contrôler l'évolution du Covid-19 sur son territoire et donc voir l'évolution de la contamination dans la population et chaque citoyen est averti sur son smartphone de la présence ou pas d'un porteur du virus à côté ou aux alentours.

Et il appartiendra ensuite à chaque citoyen (sa responsabilité) de choisir d'aller ou pas dans tel ou tel lieu, d'aller ou pas à la rencontre de telle ou telle personne ou tel ou tel groupe de personnes.

La question fondamentale est de savoir si, en France, face au coronavirus (Covid-19), nous sommes prêt à "sacrifier" nos données privées, nos libertés privées sur l'autel de "la sauvegarde de la vie de tous" et de la sureté dans la responsabilité individuelle et collective, tout en sachant que nous l'acceptions ou pas, notre monde d'avant ne sera plus jamais exactement comme celui d'après et qu'il va falloir se résoudre à vivre autrement dans une nouvelle ère, vivre avec le Covid-19 ?

​Même si tous les 67 millions de français sont testés (ce qui est loin d'être le cas mais admettons), est-on vraiment rassuré (même si on porte un masque) si on ne sait pas que la personne qu'on va rencontré est porteuse ou pas du virus ?

Est-ce un crime d'essayer ce qui a marché ailleurs ?

La question de nos données personnelles sont-elles au dessus de la préservation de nos vies face au Covid-19 qui, on le sait bien, continue de se propager et de tuer et pourrait continuer encore à se propager après le dé-confinement ?

 

La différence capitale entre le traçage à la Coréenne et le traçage subtile qui ne pose problème à personne, est le fait que la Corée avait utilisé et utilise toujours des millions de caméras (chaque rue est équipée) pour savoir qui est contaminé, quand, par qui, et où exactement ?

Qui doit être confiné et qui ne doit pas l'être après les tests de toute la population sans exception ?

Ainsi la Corée n'a jamais confiné toute sa population mais uniquement les malades (cas critiques et cas graves).

D'où, le fait qu'elle n'a jamais connu un problème de manque de lits ou de masques ou de respiratoires.

Mais, aucun pays au monde n'est équipé de millions de caméras comme la Corée !

Or, toute la planète doit apprendre à vivre avec le Covid-19.

Installer des caméras partout nécessite des milliards d'euros, et ça c'est un autre casse tête en Europe (et dans le monde), sans compter la problématique du respect des libertés et violation du secret médical que soulève le traçage.

En Europe, on veut une solution sans inconvénient sur les libertés et la démocratie.

En Corée du sud, dès janvier 2020, les données personnelles des personnes malades ont été mises en ligne sur le site Internet "Coronamap" et consultables par toute de la population.  

Ainsi, tous les citoyens (51 000 000 de coréens) peuvent vérifier, en temps réel, où les porteurs se trouvent et où ils se déplacent. Ce qui est rassurant pour toutes les personnes non contaminées (testées séronégatifs).

Les personnes contaminées depuis moins de 24 heures sont représentés par un point rouge.

Ceux qui le sont de 24 heures à 4 jours apparaissent en couleur jaune tandis que ceux qui le sont depuis neuf jours sont visualisables en vert.

Ces données de tracking sont recueillies avec les images de vidéo-surveillance,  l'analyse des cartes bancaires ou des téléphones des malades.

En cas de refus de partager ces informations, les patients récalcitrants risquent jusqu’à 2 ans de prison, parce que, le confinement de toute la population contre le coronavirus n'existant pas en Corée, ces patients porteurs du virus représentent un danger pour les autres qui doivent (à travers leur téléphone) savoir où ils sont pour éviter le contact physique. 

Ce qui est rassurant pour tout le monde.

Ainsi, seuls les patients dits cas graves, sont strictement isolés (confinés) dans les hôpitaux. Le reste de la population circule librement en respectant la distanciation sociale qu'avec les cas positifs tracés, et l'activité économique continue normalement.

Ce qui a permis également à la Corée du sud de ne pas être saturé ou débordé par l'afflux de patients ou manque de matériels ou de gangs ou encore de masques pour les policiers et soignants dont souffre la France.

 

 

 

Cependant, le traçage à la coréenne, n'a aucun sens si au préalable, le test à grande échelle et l'isolement des personnes contaminés n'ont pas été réalisé.

Les masques (pour tous), sont une valeur ajoutée aux gestes barrières.

Cependant, en quoi est-il nécessaire que tout le monde porte un masque partout ?

L' IDÉAL SERAIT DE VOIR LE MASQUE COMME LE PREMIER CONFINEMENT INDIVIDUEL QUI PERMET D'ÉVITER LE CONFINEMENT COLLECTIF OU CONFINEMENT DE TOUTE LA POPULATION !

LE PORT DU MASQUE EST UN SIGNAL FORT QUI MET EN GARDE ET À DISTANCE LES PERSONNES QU'ON RENCONTRE

LE MASQUE GRAND PUBLIC OU ARTISANAL N'EST PAS PROTECTEUR CONTRE

LE COVID-19. C'EST UNE GRANDE ILLUSION SINON POURQUOI LES SOIGNANTS, LES POLITIQUES ET LES PERSONNES AISÉES NE LE PORTENT PAS ALORS QU'ON LE RECOMMANDE À LA POPULATION QU'ON SACRIFIE ?

C'EST LE MASQUE CHIRURGICAL QUI EST PROTECTEUR

LA SANTÉ DE TOUS DÉPEND DE LA DISCIPLINE DE CHACUN ET CHACUNE

LE MASQUE POUR TOUS ET PARTOUT PERMET AUSSI DE MAINTENIR L'ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE !

 

SI TOUS LES 67 MILLIONS DE FRANÇAIS (COMMERÇANTS, POLICIERS, MILITAIRES, SOIGNANTS, ÉTUDIANTS, DÉPUTÉS, MINISTRES, CHÔMEURS, CAISSIERS, , CLIENTS ...) PORTAIENT UN MASQUE CHAQUE JOUR (AU TRAVAIL, CHEZ EUX, DANS LES TRANSPORTS ET LES COMMERCES, LES RESTAURANTS ET BARS ...), ET QU'EN PLUS, ON AVAIT DÉPISTÉ ET ISOLÉ DANS LES HÔPITAUX, LES PERSONNES CONTAMINÉES, ON AURAIT PAS BESOIN DE CONFINER TOUTE LA POPULATION FRANÇAISE NI FERMER TOUS LES COMMERCES ET ENTREPRISES !

LE MANQUE DE MASQUES POUR TOUS DÈS LE DÉBUT, A CERTAINEMENT CONTRIBUÉ À AUGMENTER LA VITESSE DE PROPAGATION DU VIRUS À L'INSU DE TOUS

TANT QU'IL N'Y AURA PAS ENCORE DE VACCIN, L'IDÉAL SERAIT DE RENDRE LE PORT DU MASQUE CHIRURGICAL OBLIGATOIRE À TOUTE LA POPULATION DURANT LE CONFINEMENT ET APRÈS LE CONFINEMENT PAR MESURE DE PRÉCAUTION.

ET IL SERAIT ENCORE MIEUX SI CES MASQUES CHIRURGICAUX ÉTAIENT DISTRIBUÉS GRATUITEMENT À TOUTE LA POPULATION EN MARTELANT QUE CES MASQUES NE DOIVENT PAS OCCULTER LES GESTES BARRIÈRES (LAVAGES DES MAINS, DISTANCIATION PHYSIQUE OU SOCIALE).

LE MASQUE NE DOIT PAS ÊTRE UN ÉLÉMENT DE BUSINESS DANS LES COMMERCES ET PHARMACIES ! LA MASQUE EST LÀ POUR SAUVER NOS VIES À TOUS !

LE SOUCIS DU PROFIT N'A PAS LIEU D' ÊTRE FACE AU COVID-19.

LE COVID-19 N'EST-IL PAS APPARU POUR SANCTIONNER L'INHUMANITÉ ET LA COURSE EFFRÉNÉE AU PROFIT QUI GANGRÈNENT

NOTRE MODÈLE DE SOCIÉTÉ ET DE CIVILISATION ?

DES MASQUES GRATUITS POUR TOUS JUQU'À LA DÉCOUVERTE D'UN VACCIN

PERMET D'EFFACER LES INÉGALITÉS FACE À LA MORT CAR DES MILLIONS DE FRANÇAIS QUI PEINENT À SURVIVRE NE POURRONT PAS S'ACHETER DES MASQUES SI L' ÉPIDÉMIE VENAIT À DURER.

C'EST L' ÉTAT QUI DOIT ASSURER LA SANTÉ DE TOUS EN METTANT À LA DISPOSITION DE LA POPULATION DES MASQUES GRATUITS.

En effet, seuls les masques homologués sont sûr pour freiner le virus qui se situe dans un ordre de grandeur de 140 nanomètres et avec une concentration 1000 fois plus grande que le virus de la grippe (source Institut Pasteur), ce qui signifie que virus du corona est encore plus petit et il se propage plus vite que la grippe. Le point commun entre les deux virus est qu'ils développent globalement certains symptômes (fièvre, toux, éternuements ...).

Ainsi, le virus corona passe très facilement à travers les tissus (habits), les écharpes et les mouchoirs que nous mettons au nez et à la bouche pour nous protéger.

Or, seule une petite partie de la population française à un masque homologué (rupture de stock ou exigence d'une ordonnance ou priorité aux personnels soignants qui sont en première ligne).

 

Pour être efficace, le masque doit être conforme à la norme française et européenne "NF EN 14683".

Or, tous les types de masques fabriqué industriellement ne sont pas  conforme à la norme française et européenne "NF EN 14683", à fortiori les masques artisanaux ou fait maison qui sont de piètre qualités.

En plus, tous les masques fabriqués industriellement et conforme à cette norme ne sont pas efficaces pour arrêter un virus ! Beaucoup de ces masques arrêtent les bactéries mais pas un virus ! Ne pas confondre bactéries (ou microbes) et virus.

 

Voir, sur la photo ci-dessous, ceux qui sont dit conforme.

 

 

 

 

 

Quel type de masque choisir en fonction de son efficacité ou son degré de protection contre le virus ?

- Le masque chirurgical fonctionne comme une auto-route à sens unique ! Il retient uniquement, les bactéries et virus émis par son porteur ou porteuse. Ainsi, il empêche son porteur ou porteuse de contaminer son entourage mais puisqu'il ne fonctionne que dans un sens unique, il n'empêche pas son porteur ou porteuse d'être contaminé(e) par une personne en face à moins d'un mètre et qui ne porte pas de masque. Il diminue la quantité de virus provenant de l'extérieur et que le porteur ou la porteuse pourrait inspiré

Cependant, il n'arrête pas à 100% tous les virus Covid-19 projetés par une personne en face à moins d'un mètre parce qu'il n'est fait pour filtré l'air inspiré mais uniquement l'air expiré.

Il n'existe pas sur la planète un type de masque qui protège à 100% du Covid-19.

Les masques chirurgicaux sont généralement portés au bloc opératoire pour éviter d'abord que les bactéries de la bouche du chirurgien ne soient projetées sur la plaie chirurgicale du patient, mais peuvent aussi être portés par le grand public (la population française) pour se protéger des micro-organismes dans un contexte de pandémie Covid-19.

- Le masque FFP2 fonctionne comme une auto-route à deux sens ! Il filtre l'air expiré et inspiré. Il empêche son porteur d'être contaminé et de contaminer.

- Quant au masque FFP3, il est plus filtrant que le masque FFP2 car il protège du Covid-19 et il arrête aussi la pollution ! Exemple : il arrête les particules de plomb et d'amiantes contenues dans l'air.

- Le masque en tissus (baptisé "mieux que rien") est sans doute la plus grande illusion et le plus gros mensonge du siècle ! Ce masque est totalement inefficace contre le Covid-19.

Or, c'est ce genre de masque qu'on a recommandé à la population (masque grand public). Le virus du Covid-19 est 1000 fois plis petit qu'un cheveeu, donc il passe à travers les simples tissus et écharpes.

- Le masque dit "Bandana" ou écharpe, arrête uniquement les grosses poussières et le pollen mais jamais un virus quelconque. 

 

Ce sont les masques chirurgicaux qui étaient destinés à la population en cas de pandémie. 

Les masques FFP2 étaient destinés uniquement aux personnels soignants en cas de pandémie.

Mais, à cause de l'absence de masques FFP2 depuis 2012, on a préféré mentir en faisant croire que les masques n'étaient pas utiles pour la population, et on a gardé la maigre quantité de masques chirurgicaux pour les personnels soignants.

Ensuite, on a dit à la population de se débrouiller avec des masques en tissus tout en sachant pertinemment qu'ils sont inefficaces contre le Covid-19.

 

Synthèse

 

 

 

 

 

 

 

 

En principe, si on est pas un médecin ou personnel soignant, le port du masque est indiqué dans deux cas de figure :


- si on présente des symptômes relatifs au coronavirus Covid-19. Une recommandation d'ailleurs valable pour différents types de virus, y compris la grippe,
- si on fait partie des "personnes contact", c'est-à-dire, si on a eu un contact “étroit et prolongé” avec un malade.

Pour avoir une ordonnance pour un masque à la pharmacie, il faut présenter des symptômes.

Présenter des symptômes, peut signifier après consultation, qu'il s'agit de la grippe saisonnière ou encore qu'il s'agit du Covid-19 (Coronavirus), ou d'une autre maladie respiratoire.

 

À partir du moment que certains symptômes du Coronavirus sont exactement les mêmes que ceux de la grippe saisonnière, faut-il, PAR IMPRUDENCE,  rajouter de la difficulté à la difficulté, en NARGUANT LE COVID-19, par le fait d'attendre d'avoir des symptômes pour commencer à porter un masque de protection à la maison, au travail, à l'école, dans les universités, lors des courses .. ?

En Corée du sud et en Chine (deux pays souvent pris en exemple), la consigne était et est toujours que toute la population porte des masques même après le dé-confinement progressif, par prudence, pour éviter d'autres vagues parce que le virus est toujours dans le corps de millions de personnes qui restent des contaminants potentiels à leur insu. 

 

Si on attend que des symptômes apparaissent pour commencer à se protéger avec un masque, peut-être qu'il sera déjà un peu trop tard puisqu'on était exposé à la contamination depuis trois mois (depuis janvier 2020).

En effet, il y a probablement des milliers voire des millions de français dits "sains" qui portent à leur insu le virus corona (Covid-19) et ne présentent pas encore des symptômes, mais restent des contaminants, et pourraient présenter les symptômes dans les semaines qui suivent durant le confinement chez eux, et par conséquence, pourraient continuer à transmettre le virus à tout leur entourage parce que le gouvernement avait martelé que les masques n'étaient important que pour les personnels soignants.

Dès lors, il ne faut pas s'étonner après que des centaines de milliers de personnes dites "saines" ou "sans symptômes", soient contaminées durant le confinement et que naissent des vagues et encore des nouvelles vagues de centaines de milliers de patients qui vont saturer les hôpitaux du fait qu'ils ne portaient pas de masque durant le confinement avec des proches, ou lors de leurs sorties pour des achats de premières nécessité, ou sur le lieu de travail, ou dans les transport en commun.

 

Ainsi, à cause du manque criant de moyens du aux politiques d'austérité budgétaire infligée durant des décennies (à partir de 1980-1990 jusqu'en 2018) à la santé publique et aux hôpitaux par les gouvernements précédents et NON ACTUEL, la parole politique actuelle (en 2020), en mode défensive, est partie dans tous les sens à l’épreuve de la crise du Covid-19.

Cette austérité budgétaire des gouvernements précédents avait épargné les masques !

En effet, jusqu'en 2005, la France avait un stock de masques suffisant qui lui avait permis de tenir bon face à la pandémie de la grippe "H1N1" de 2009-2010. La France avait tellement bien anticipé en amont avec ces masques pour protéger les soignants et la population, qu'au final, elle n'avait enregistré que quelques centaines de décès, à l'inverse d'autres états d'Europe qui comptaient leurs victimes par milliers. 

Mais, après cette crise de 2009-2010, la logique de l'austérité budgétaire s'était intéressé dès 2011 à la question des masques stratégiques en stock.

Ces stock avaient ainsi été liquidé en 2011-2012 et n'avaient pas été renouvelé.

Le gouvernement actuel avait hérité (en 2017) ce manque de matériels stratégiques.

 

Dès lors, il est évident que ce n'est point le gouvernement actuel qui a asséché la France de masques.

Ce sont les choix politiques des gouvernements précédents qui en sont à l'origine.

 

Mais, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, avait reçu dès 2018 une note l'informant que le stock d'Etat de masques était en grande partie périmé et insuffisant.

En mai 2019, l'agence Santé publique France publiait un avis de plusieurs médecins experts réclamant la constitution d'un stock d'un milliard de masques.

Mais, rien n'avait été fait et ensuite, la ministre de la santé avait préféré se soucier de son élection aux municipales en démissionnant de son poste pendant que le danger du Covid-19 se profilait. Elle voulait être Maire de Paris.

Cependant, au lieu de dire à la population dès janvier jusqu'en mars 2020, qu'il n'y a pas assez de masques pour tous et qu'il est cruciale de réserver le peu qui reste pour les soignants, le gouvernement actuel a préféré marteler pendant des mois que les masques n'étaient utiles que pour les soignants !

S'en était suivi du "Restez chez vous" mais sortez pour aller voter. 

Or, l'absence de masques favorise les contaminations d'une maladie respiratoire. Et les contaminations engendrent à leur tour, des vagues qui viennent submerger les hôpitaux.

​L'idée selon laquelle, les masques ne sont importantes, en période de catastrophe sanitaire, que pour les personnels soignants n'est pas justifiée. C'est un gros mensonge qu'on retrouve dans la stratégie de tous les états de la planète qui se sont retrouvés débordés sans moyens, sans assez de masques pour toute leur population.

Mieux encore, c'est l'Académie française de Médecine qui avait informé les autorités en recommandant le port obligatoire du masque pour le grand public : " En France (...) le port généralisé d'un masque par la population constituerait une addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur ".

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En effet, le virus corona étant à l'origine, un virus respiratoire, l'absence de masque est sans doute une circonstance aggravante de l'exposition au danger et à la contamination.​

Les masques sont importants chaque jour pour tous les 67 000 000 de français (personnels soignants, policiers, militaires, civils, gouvernement, même le président de la République, les juges, les avocats, les commerçants, les caissiers des supermarchés, les ouvriers, les étudiants, les élèves, les professeurs, les sans abri ...), durant la période de confinement, et par prudence supplémentaire, durant les premiers mois de l'après confinement dans la mesure où le dé-confinement à venir n'est pas synonyme de l'enterrement du Covid-19 ni des contaminations tant qu'il n'y aura pas de vaccin ou un remède sur la planète.

 

Il y a un hiatus assez criant entre les déclarations et le manque de masques, de tests sérologiques à grande échelle, sans compter la polémique quotidienne sur la chloroquine.

Tout cela crée un halo d’insécurité qui ne peut qu’inquiéter l’opinion publique et des millions de personnes qui sont déjà à l'épreuve du confinement et ses effets psychologiques.

L'idéal serait, en période de catastrophe sanitaire, que la parole médicale, controversante soit-elle, soit la plus prescriptrice et non celle politique.

Même après la fin du confinement, l' idéal serait que tous les états de la planète restent prudents dans la mesure où au delà de la question des manques de masques, il y a une autre problématique qui est aussi inquiétante et qui concerne le cas précis des centaines de milliers de personnes dites "guéries" et sorties des hôpitaux. Ces personnes ne portent pas des masques !

On a fait croire pendant des mois à toute la population que ces personnes sont désormais hors d'affaire !

Or, il n'existe aucune preuve scientifique ou médicale que ces personnes dites "guéries"  qui sont rentrées chez elles à coeur joie, sont définitivement "guéries" du coronavirus et immunisées contre toute re-contamination, et rien ne prouve que ces personnes elles-mêmes ne peuvent pas contaminer d'autre personnes dites "saines".

D'où, encore une fois, l'importance des masques pour tous.

 

L'idéal serait de joindre au port du masque, les tests biologiques et sérologiques et isolement en quarantaine stricte de toutes les personnes porteuses du virus, ou au moins mettre en quarantaine uniquement les cas critiques et graves et tracer tous toutes les personnes contaminées pour protéger le reste de la population qui ne porte pas encore le virus.

Tant qu'il y aura sur la planète une seule personne porteuse du virus Covid-19, l'humanité n'a pas encore gagné la guerre et n'est pas à l'abri d'un retour de nouvelles vagues ni d'une mutation du virus. Ce qui est rassurant, c'est l'antidote ou le vaccin.

Plusieurs laboratoires à travers le monde sont à l'oeuvre, et nous espérons tous.

Mais, pour l'instant, ils n'ont pas encore identifié la clé permettant d'ouvrir le cadenas du Covid-19.

Il est donc prématuré d'affirmer que la Corée du sud et la Chine ont définitivement remporter le combat contre le coronavirus alors qu'il ne s'agit pour l'instant que de batailles remportées, et à coût de sacrifices de droits et libertés sur l'autel de la santé publique, sans pouvoir déloger définitivement, l'ennemi mondial (le virus Covid-19) dans le corps de millions et voire de milliards de personnes sur leur territoire.

La transparence des états dans l'union planétaire contre le Covid-19, est importante.

Toutes les difficultés que rencontre chacun des gouvernements actuels de la planète (y compris celui de la France), se résument en un manque de moyens dont les masques.

Et si les états les plus puissants et riches se sont retrouvés démunis face au coronavirus, on peut imaginer la situation encore plus difficile pour les pays d'Afrique.

 

Dès lors, on peut se  demander comment on en est arrivé à cette situation planétaire d'ampleur inédite ?

I.jpg

L'importance des masques

pour tous les 67 000 000 de français et en priorité pour le personnel soignant, les policiers, les pompiers, les gendarmes 

M.jpg
MANQUE COVID.jpeg
MASQ 2.jpg
MASQ 2.jpg
MASQ 2.jpg
MASKES.jpeg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les coronavirus ont été identifiés pour la première fois chez l'humain dans les années 1960. 

Ce qui revient à dire, que l'humanité (en particuliers, tous les états de la planète) devait dès 1960, considérer l'apparition et les dégâts (minimes soient-ils) des premiers coronavirus comme un test de sa capacité à faire face à d'autres virus plus redoutables qui pourraient advenir tôt ou tard, et donc anticiper par le biais de politiques de santé ou de systèmes de santé accordant une place capitale à la prévention et avec une vision un peu lointaine en donnant les moyens à la recherche médicale.

 

 

 

 

LES CAUSES HISTORIQUES OU LOINTAINES

DE L' IMPRÉPARATION MONDIALE CONTRE

LA POSSIBLE APPARITION

D'UN AUTRE VIRUS CORONA

 

LES POLITIQUES BUDGÉTAIRES D'AUSTÉRITÉ

INFLIGÉES À LA SANTÉ PUBLIQUE, AUX HÔPITAUX ET À LA RECHERCHE MÉDICALE

PAR LES GOUVERNEMENTS PRÉCÉDENTS

LES CONSÉQUENCES 

LE GOUVERNEMENT ACTUEL N'A FAIT

QU' HÉRITER CE MANQUE DE MOYENS

HUMAINS ET MÉTÉRIELS INITIÉ 

DEPUIS LES ANNÉES 80-90 ET ACCENTUÉS

DANS LES ANNÉES 2000

- Les politiques budgétaires d'austérité infligées progressivement depuis 30 ans aux hôpitaux publics dans presque tous les états, reléguant ainsi les politiques de santé au rang de parent pauvre de la croissance mondiale.

Ce qui signifie que ce ne sont pas les gouvernements actuels des pays de la planète qui sont responsables de TOUT, puisque le problème date de très longtemps :

- réduction de personnels soignants jusqu'à engendrer des Burn out (état d'épuisement physique, émotionnel et mental lié à une dégradation du rapport d'une personne à son travail),

- réduction de budget pour faire des économies,

- réduction de lits et de matériels au nom des impératifs économiques et aussi la non anticipation des stocks de médicaments.

- le fait pour les gouvernements successifs d'avoir occulté l'indépendance sanitaire par le biais des délocalisations de la fabrication de certains outils indispensables à la souveraineté sanitaire (exemple : les respiratoires, les masques, les gangs) dans le but d'aligner des plans sociaux, supprimer des emplois à l'échelle nationale, pour optimiser les bénéfices (optimisation fiscale en Inde, en Chine ...). Cette politique délirant de globalisation ou mondialisation, a fait qu'il n'y a plus depuis plus deux décennies, d'industries pour produire ce qui est essentiel en France et en France (exemples : respiratoires, masques, gangs, médicaments...).

- absence de politique de santé publique avec une vision un peu lointaine afin, par anticipation, de se doter, peu soit-il, des moyens permettant de faire face aux calamités mondiales d'ordre sanitaire.

Or, l'histoire a toujours démontré que tous les gouvernements de la planète doivent considérer l'apparition et les dégâts d'un virus précédent et redoutable  comme un entrainement ou un test de la capacité de l'humanité à faire face à d'autres virus encore plus redoutables qui pourraient advenir tôt ou tard.

Exemples de signes avant coureurs de l'apparition du Covid-19 ou d'un autre virus plus redoutable :

Les coronavirus ont été identifiés pour la première fois chez l'humain dans les années 1960. Et d'autres virus n'appartenant pas à la famille des coronavirus, étaient apparus.

-La maladie à virus Ebola est apparue pour la première fois en 1976, lors de 2 flambées simultanées à Nzara (aujourd'hui au Soudan du Sud) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, celle-ci a donné son nom à la maladie.

L'épidémie de maladie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest débute au sud-est de la Guinée en décembre 2013, avant de s'étendre au Liberia et à la Sierra Leone. Le Nigeria, le Mali, les États-Unis, le Sénégal, l'Espagne, le Royaume-Uni et l'Italie sont aussi touchés par l'épidémie, mais dans une bien moindre mesure.

- Le SRAS-CoV (le bêta-coronavirus qui cause le Syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS), avait été identifié en Chine en 2002.

- Le MERS-CoV (le coronavirus bêta qui provoque le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ou MERS) avait été découvert en 2012 en Arabie Saoudite.

Ainsi, les gouvernements précédents ne peuvent pas se dédouaner de leurs responsabilités, en arguant qu'il n'y avait pas de signes avant coureur ou que l'idée de l'apparition possible d'un virus plus redoutable tel que le Covid-19, n'était pas envisageable à l'époque, pour anticiper sur les moyens des hôpitaux.

Le travail des chercheurs et ceux des laboratoires sont très important.

Cependant, encore fallait-il que les riches et puissants gouvernements des décennies passées, investissent énormément dans la recherche depuis l'apparition de signes avant coureurs en 1960, puis 2002, puis 2012, en donnant aux laboratoires et aux chercheurs, tous les moyens nécessaires, non pas pour trouver l'antidote ou le vaccin d'un virus qui n'est pas encore apparu, mais pour anticiper et préparer constamment l'humanité, à l'aide de moyens palliatifs (ou des médicaments), pour éviter que toute la planète se retrouve totalement démunie face à un redoutable virus comme le Covid-19.

Concernant les manques de moyens matériels et humains dans les hôpitaux face au Covid-19, les gouvernements précédents ne peuvent pas dire que les personnels soignants des hôpitaux n'avaient pas fait, bien avant cette pandémie,  des centaines de grèves et manifestations pour alerter les pouvoirs publics et l'opinion nationale, sur ces manques criants et constants. 

En plus, l'ancienne ministre de la santé "ROCHELINE BACHELOT" avait prévenu et défendu la nécessité de garder les millions de masques et ne surtout pas les liquider !

Mais, à l'époque, toute la classe politique avait considéré qu'elle avait surestimé la grippe aviaire("H1N1") de 2009-2010.

Ainsi, dès 2012, les stock de masques ont été liquidé !

Les personnels soignants s'étaient aussi plaint lors de manifestations, du Burn out engendré par les surcharges de travail nées des suppressions de postes ou réduction de personnels visant à faire des économies, à transformer les hôpitaux publics en entrepises.

Le soucis d'un système de santé solide et capable de faire face aux problématiques de santé publique à l'échelle nationale, avait été occulté aux USA, en Europe (y compris en France) durant plusieurs décennies par des dérives obnubilées par le gain, par l'argent.

Une illustration du cas français (parmi tant en Europe, aux USA) :

Dans le Journal Télévisé du samedi 17 mars 2018, la journaliste Camille Guttin sur le plateau de France 2, avait expliqué (reportage à l'appuis) que "La principale explication au malaise des hôpitaux français, "ce sont les économies qui ont été demandées au système hospitalier : 7 milliards d'euros en moins en dix ans, 100 000 lits qui sont fermés".

Et le paradoxe, c'est que la fréquentation, elle, continue d'augmenter : "si on prend par exemple le service des urgences, le nombre des patients est passé en dix ans de 10 à 20 millions. Mais impossible d'avoir du personnel supplémentaire, réduction des coûts oblige, du coup, les services fonctionnent à flux tendu.", selon la journaliste.

"Le problème dans tout ça, c'est que beaucoup de services n'ont plus de lits ouverts la nuit, et lorsque les patients viennent aux urgences et qu'ils doivent rester un peu plus longtemps, il n'y a plus de quoi les garder", poursuit la journaliste. 

Résultat selon elle : "ils finissent bien souvent dans les couloirs sur des brancards". 

Ces forfaits datent de tellement trop longtemps, qu'ils serait injuste, voire trop facile, de jeter la grosse pierre sur les gouvernements actuels de la planète alors que ce sont les précédents qui avaient construit les solides soubassements de cette crise sanitaire et mondiale (c'est-à-dire le manque de moyens dans les hôpitaux au nom de la logique comptable).

Le Covid-19 n'a fait que révéler et aggraver ce manque de moyens humains et matériels initié depuis près de trois décennies.

Ainsi, la crise sanitaire du Covid-19 date de décembre 2019 jusqu'en 2020, mais le malaise des hôpitaux ne date ni de 2017 ni de 2018 ni de 2020.

Laquelle crise (Covid-19) est devenue, par métastase,

- une crise à la fois sanitaire,

- une crise industrielle du pétrole entre états producteurs 

- une crise économique et financière (la bourse, les banques nationales et mondiales,

- une crise sociale et politique à l'échelle nationale et internationale

- une crise qui a engendré une crise de la gestion inégalitaire des personnes. Exemples : l'oublie du cas de contamination ou du risque de contamination des centaines de milliers de prisonniers confinés ensemble ; l'oublie du cas des personnes qui n'ont pas "chez eux" pour rester "chez eux", tels que les migrants dans les camps et aussi dans les rues des villes, y compris les "Sans domicile fixe" ou SDF ; l'inégalité entre les personnes pauvres qui n'ont pas accès aux nouvelles technologies, et les personnes qui ont accès à l'outil informatique pour mieux respecter certaines règles ou mesures gouvernementales contre le Covid-19

- une crise et même une "guerre mondiale" entre tous les états pour avoir des masques de protection contre le coronavirus

- la découverte par tous les états de la planète qu'il était plus facile d'entrer dans le confinement à une date précise, que d'en sortir à une date difficile à connaitre du fait de l'absence de garanties ou peu de garanties que le coronavirus ne va pas engendrer d'autres vagues ou tsunamies de patients qui avaient été contaminés durant le confinement chez eux avec leurs proches, ou sur leurs lieu de travail ou lors de leurs sorties pour faire des achats de premières nécessités ...

Conséquences :

C'est toute l'humanité qui paie aujourd'hui le lourd tribu sur tous les plans à commencer par l'hécatombe (pertes exponentielles en vie humaine).

Et çà, c'est sans compter les pertes d'emplois (chômages de masse, chômage partiels), de revenus, de dividendes versées par les grandes entreprises aux actionnaires et riches,  les baisses de salaires,  l'arrêt du tourisme et les voyages, l'arrêt des vacances,

la célébration des cérémonies religieuses en mode "2.0", le report des examens ou modifications des modalités, les conséquences psychologiques du confinement et de l'impossibilité de voir et/ou de toucher les corps de ses proches décédés du Covid-19.

Le gros problème (sans remède) de l'humanité, c'est d'avoir toujours trop misé son existence, sa puissance et son bonheur sur l'argent (l'économie).

Or, en plus de l' hécatombe planétaire, le Covid-19 est venu torpiller une grande partie de cette économie et révéler la fragilité des certitudes et même remettre en cause toute la civilisation de la planète en imposant à tous des formes de solidarités inédites et des interdictions dans nos comportements sociaux sous peine d'être contaminé et voire mourir.

Ainsi, à partir du moment où l'économie est touchée, tout le reste est touché y compris les modes de vie, le modèle de société.

  L'impact du coronavirus sur l'économie française pour l'instant

 

                                              

  L'impact du coronavirus sur l'économie mondiale pour l'instant

 

 

 

LES CAUSES ACTUELLES

DE L' IMPRÉPARATION MONDIALE CONTRE

LA PANDÉMIE DU COVID-19

 

 

LES MANQUES DE MOYENS HÉRITÉS DES GOUVERNEMENTS PRÉCÉDENTS, SE SONT INSTALLÉS PROGRESSIVEMENT

ENTRE 1980 ET 2018, À TRAVERS DES CHOIX DE POLITIQUES DE SANTÉ


 

 

CES MANQUES AVAIENT GÉNÉRÉ DES MILLIERS DE MANIFESTATIONS, DES CRIS D'ALERTES,

DES GRÈVES DES PERSONNELS SOIGNANTS

DE 1990 À 2019 EN FRANCE. MAIS HÉLAS !

 

CES MANQUES ONT ENSUITE DÉSARMÉS LES HÔPITAUX, ET AFFAIBLI LE SYSTÈME

DE SANTÉ PUBLIQUE FACE À LA PANDÉMIE

DU COVID-19 EN 2020.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA SUPRESSION DE PLUS DE 100 000 LITS PAR LES GOUVERNEMENTS PRÉCÉDENTS 

POUR FAIRE DES DIZAINES DE MILLIARDS D'EUROS ET RENDRE LES HÔPITAUX RENTABLES

A CONDUIT À UN DILEMME EN 2020 :

QUI FAUT-IL SAUVER QUAND ON NE PEUT PAS 

SOIGNER TOUT LES MALADES DU COVID-19 ?

LA RÉPONSE A ÉTÉ FOURNIE EN MARS 2020 PAR LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE EUROPÉENNE

À TOUS LES ÉTATS MEMBRES DE L'UNION

 

 

 

ENSUITE, IL Y A EU LA SOUS ESTIMATION DU VIRUS CORONA, AU DÉPART, PAR TOUS LES GOUVERNEMENTS ACTUELS DE LA PLANÈTE.

LE COVID-19 ÉTAIT QUALIFIÉ DE "GRIPETTE"

 

L'ABSENCE DE COORDINATION AU DÉPART À L'ÉCHELLE EURPÉENNE : CHAQUE ÉTAT DE L'UNION AVAIT SA STRATÉGIE ALORS QUE LE COVID-19 SE MOQUAIT DES FRONTIÈRES).

LES USA DOUTAIENT DE LA TRANSPRENCE CHINOISE ET VOULAIENT UNE EXPLICATION.

LE MANQUE DE MOYENS POUR LES ÉTATS AFRICAINS FAISAIT CRAINDRE LE PIRE.

L' OMS VOULAIT UNE UNION MONDIALE POUR TROUVER UN VACCIN CONTRE LE COVID-19 

 

 

 

 

 

 

LE MANQUE D'ANTICIPATION  DE BEAUCOUP D'ÉTATS Y COMPRIS LA FRANCE

 

ENFIN, DES MENSONGES QUI ONT EXPOSÉS BEAUCOUP DE GENS À LA CONTAMINATION

À LEUR INSU, D'OÙ LES VAGUES

CONSÉQUENCES

LA SATURATION DES HÔPITAUX ET LA DÉCOUVERTE QU'AUCUN DES ÉTATS ET CONTINENTS DE LA  PLANÈTE N'ÉTAIT PRÊT

(ASIE, EUROPE, USA, AFRIQUE ...).

ET ÇÀ, C'EST SANS COMPTER LES CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DU COVID-19 :

LA HANTISE DE LA RECESSION OU DU "RECTANGLE" NÉ D' UN DOUBLE CHOC (CELUI DE L'OFFRE ET DE LA DEMANDE)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

QUANT AUX CONSÉQUENCES PSYCHOLOGIQUES ET SOCIO-POLITIQUES, IL EST ENCORE TROP TÔT POUR ÉTABLIR LE PÉRIMÈTRE DES DÉGÂTS

 

 

I.jpg

COMMENT TOUTE LA PLANÈTE S'EST RETROUVÉ PROGRESSIVEMENT CONTAMINÉE PAR LE COVID-19 AVEC PARTOUT DES HÔPITAUX ET PERSONNELS SOIGNANTS DÉBORDÉS PAR

L'AFFLUX DE PATIENTS

ET DÉMUNIS DE MATÉRIELS ?

MANQUE COVID.jpeg
ÉCONO.jpg

EN EFFET, LA CHINE CACHAIT AU DÉBUT 

LA TRAGÉDIE

 

LE PREMIER S.O.S OU CRI D'ALERTE  DE L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) VISANT À INCITER LES GRANDES PUISSANCES DE LA PLANÈTE À PRENDRE AU SÉRIEUX,

LE DRAME QUI SE JOUAIT EN CHINE,

DATE DU 31 DÉCEMBRE 2019

 

MAIS, L'AMÉRIQUE (USA) ET TOUTE L'EUROPE AVAIENT TROP SOUS ESTIMÉ LE MAL (LE VIRUS) EN CROYANT QU'IL ÉTAIT LOINTAIN, AU FIRMAMENT DE LEURS FRONTIÈRES


 

AVEC LES VOYAGES ET LES ÉCHANGES COMMERCIAUX, S'EN EST SUIVI, DE JANVIER À FIN FÉVRIER 2020, UNE RAPIDE PROPAGATION MONDIALE DU CORONAVIRUS

COMME UNE TRAINÉE DE POUDRE AVEC SON CORTÈGE KILOMÉTRIQUE DE MORTS QUOTIDIENS PARTOUT.

CE QUI RELEVAIT DE SCÉNARIO DE FILM DE SCIENCE FICTION ÉTAIT EN TRAIN DE DEVENIR RÉALITÉ SUR LA PLANÈTE.

Le coronavirus (Covid-19) a débuté (officiellement) en chine au mois de décembre 2019

Pourquoi le nom "COVID-19" ?

 

Le "CO" provient du terme "CORONA" qui est le nom attribué par les scientifiques à la forme extérieure du virus (une forme qui ressemble à une couronne). 

Le "VI" provient du terme "VIRUS".

Le "D" provient du terme "DISEASE" (qui signifie en anglais "maladie")

Le "19" a été associé au nom "COVID" parce que la maladie est apparue officiellement en décembre "2019".

 

Le 26 décembre 2019, selon la version officielle (Chinoise), quatre cas de pneumonie atypique avaient été identifiés parmi les clients et les employés d’un marché aux animaux sauvages (publié par le journal le Figaro Sciences le 24 mars 2020).

Pékin avait été alerté, le lieu présumé de ces contaminations avait été fermé et une note d’information avait été envoyée à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

Tandis que les experts chinois se lançaient sur la piste du virus, plusieurs médecins locaux étaient rappelés à l’ordre pour avoir exprimé leur inquiétude sur de possibles contaminations.

Pas question de semer la panique, insistaient les autorités locales, qui réfutaient l’existence de contaminations inter-humaines.

Selon Zunyou Wu qui est épidémiologiste en chef du centre chinois de contrôle des maladies, « La rapide propagation géographique du virus et l’augmentation du nombre de cas ont surpris et débordé les services de santé » (publié par le journal le Figaro Sciences le 24 mars 2020).

Le 31 décembre 2019, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait alerté sur plusieurs cas de pneumonies dans la ville de Wuhan (Province Hubei de Chine).

Mais, ce virus ne ressemblait à aucun virus connu des scientifiques.

Le 7 janvier 2020, les autorités chinoises avaient confirmé qu'il s'agissait bien d'un nouveau virus de la famille des coronavirus. Dans un premier temps il a été baptisé temporairement "2019-nCoV" puis définitivement COVID-19 ou SARS-CoV-2.

La famille des coronavirus provoque des infections respiratoires chez l'homme et chez l’animal qui peuvent aller du simple rhume, au syndrome ­respiratoire aigu sévère (SRAS) et au ­syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS).

De décembre 2019 à janvier 2020, il était INTERDIT en chine, de parler de coronavirus ou d'épidémie ou de milliers de morts.

Les lanceurs d'alerte (sur les réseaux sociaux) étaient arrêtés et emprisonnés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendant cette censure, le virus a eu le temps de se propager à la "vitesse de lumière" dans le monde à travers surtout les voyages (de personnes) y compris les échanges commerciaux de marchandises...

L' Europe et l'Amérique, avant de rectifier leur tire (au mois de mars 2020), avaient au départ (de décembre 2019 à février 2020), sous estimé la dangerosité du virus corona en croyant que le mal était lointain, au firmament de leurs frontières.

Ainsi, l'Europe et l'Amérique (USA) n'ont pas anticipé, et les populations n'ont pas vu venir ce qui allait devenir le cauchemar du siècle.

Après la Chine (1, 395 380 000 d'habitants) qui avait imposé la censure pour cacher le drame qui se jouait avant de reconnaitre l'existence du virus, l'Inde avait elle aussi nier d'abord l'existence de ce même virus corona avant de le reconnaitre au mois de mars et décreter dès le 24 mars 2020, le confinement total de toute sa population (1,368 163 000 d'habitants) pour une durée minimum de 21 jours.

L'Afrique (1,2 milliard d'habitants) à son tour, s'est rendu compte qu'elle avait été contaminée à son insu, et certains états se sont mis à décréter dans la foulée, le confinement total.

Le fait que certains symptômes du Covid-19 sont exactement les mêmes que ceux de la grippe saisonnière (très connue des médecins de toute la planète), cela avait conduit beaucoup de médecins et chercheurs du monde à spéculer et rassurer (sur toutes les chaines de télévision de la planète) sur ce qui serait selon eux, une grippette sans gravité !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CPLAT.JPG
CPLAG.jpg

En effet, de janvier 2020 jusqu'au 15 mars 2020 (soit durant 2 mois et démi), chaque pays (en Europe, aux USA ...) concerné par le Covid-19, suivait les conseils de ses médecins et scientifiques en matière de sécurité sanitaire.

Sauf que tous ces médecins et scientifiques ne savaient pas qu'ils s'étaient trompés de diagnostic en reléguant le Covid-19 au rang de gripette.

Ainsi, des milliers de journalistes et de chaines de télévision à travers le monde, avaient à leur tour relayé cette certitude ("gripette") pour rassurer 7 milliards de personnes.

Dès la deuxième semaine du mois de mars 2020, les chercheurs de la planète, apprenant chaque jour un peu sur le virus corona, se sont enfin rendu compte qu'ils s'étaient trompés de diagnostic.

En effet,

- Le virus de la grippe est périodique (chaque année de novembre à mars), alors qu'on n'en sait rien encore concernant le virus corona

- Les symptômes de la grippe saisonnière sont clairs et connus depuis longtemps (fièvre, courbatures et frissons), alors que la liste de ceux du virus corona n'est pas encore exhaustive et les chercheurs en découvrent chaque semaine une information nouvelle qui vient contredire leur certitudes et leurs premiers diagnostics.

- le virus de la grippe a un taux de reproduction plus faible, c'est-à-dire qu'on peut en moyenne contaminer une seule personne.

Or, le virus du corona a un taux de reproduction plus élevé, soit 3 personnes contaminées en moyenne. 

En plus du manque d'informations et de bon diagnostic, les mesures n'ont pas été prises à temps sur la planète.

Chaque état, pensait que le drame qui se jouait en chine depuis décembre 2019 jusqu'en début de mars 2020, était un problème non pas planétaire mais typiquement chinois du fait que la Chine elle-même avait caché et nié au départ, l'existence du virus et voulait résoudre l'équation dans la censure.

Pendant tout ce temps (décembre 2019 à début mars 2020), presque tous les pays de la planète avaient été contaminés à leur insu à travers les voyages par avion, par train, bateaux, les échanges commerciaux de matériels, les cérémonies ou rencontres de masses dans les lieux de culte, les concerts, les festivals de danses, les pique-niques, les rencontres sportives, les campagnes politiques, les universités, les écoles, les lieux de travail, et même une grande partie des militaires dans les bâtiments de guerre (sous marin) et dans les camps, ainsi que plusieurs dizaines de milliers de policiers, de gendarmes, de soignants (infirmiers, médecins...) et enfin une partie des équipes de scientifiques dans les laboratoires.

A la différence des autres états de la planète, la Russie avait dès décembre 2019, fermé toutes ses frontières avec la Chine, ce qui explique en grande partie la très faible présence du corona là-bas.

Quand les USA et l'Europe se sont réveillés (début du mois de mars 2020), elles se sont rendu compte qu'elles n'étaient pas prête à faire la guerre à ce nouveau virus qui était très loin, à des années lumières d'être une grippette.

En effet, dans notre civilisation, la guerre est souvent pensée comme une préparation contre un état ou des populations ... avec des armes nucléaires, des bombes, des fusils ...

Cependant, toutes les guerres n'exigent pas les mêmes préparations ni les mêmes armes.

Il est plus facile de faire la guerre à un état et le détruire en une seconde avec des bombes que de faire la guerre à un virus qui est un ennemi invisible et qui est en plus dans notre corps.

S'ajoute à tout cela, le fait que les médecins et chercheurs qui parlaient de grippette en longueur de journée sur les médias pour rassurer les populations, avaient eux aussi rétro-pédaler, à cause de l'hécatombe, à partir du 15 mars 2020 sur les médias, pour affirmer ensuite qu'il ne s'agissait pas de grippette, que  la situation était grave, qu'il y avait péril en la demeure et qu'il fallait absolument mettre en place le confinement total.

Exemple : 

A partir du 15 mars 2020, certains chercheurs, médecins et animateurs de télévision s’étaient excusé d’avoir “trop rassuré les Français” au moment où la pandémie ne cessait de prendre de l’ampleur ailleurs dans monde et aussi sur le territoire français où des mesures de confinement étaient en cours d’élaboration.

Toute cette sous estimation du virus et impréparation mondiale des états au départ (de décembre 2019 jusqu'en début mars 2020) et tous ces zig zag sans doute involontaires de medecins et chercheurs, du au fait qu'ils étaient face à un virus nouveau dont ils n'en savaient que peu de choses, ont permis à la maladie de gagner du terrain sur tous les continents.

Un médecin français instalé à Wuhan en Chine, avait pourtant témoigné de la gravité de la situation

Ainsi, les états d'Europe (y compris la France) n'ont pas pu tuer l'épidémie dans l'oeuf, et ils n'ont commencé à prendre conscience de la gravité de la situation que lorsque cette épidémie est devenue une pandémie (déclarée au mois de mars 2020 par l'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé, une Institution spécialisée de l'ONU).

Cette OMS n'a pas le pouvoir d'imposer aux états ce que ces derniers ne veulent pas ou n'ont pas les moyens de réaliser.

L' OMS ne peut que recommander.

Chaque état, en fonction de ses moyens et selon les circonstances (nationales, locales, régionales), est libre de choisir sa stratégie ou ses stratégies pour atteindre le but commun dans la mesure où il n'y a jamais eu, par anticipation, de plan mondial de lutte contre les pandémies virales précédentes, et le Covid-19 n'échappe pas à cette coutume.

Ainsi, l'OMS n'a jamais recommandé aux états, le confinement de toute leur population avec des sanctions ou amendes.

Elle les avait alerté et recommandé le test + isolement (depuis le 31 janvier 2020).

Elle avait ensuite (le 11 et le 15 mars 2020), martelé cette recommandation en demandant aux états de privilégier le "tester, tester, tester et isoler uniquement les porteurs du virus".

Sauf que (faute de lits disponibles et de moyens matériels et humains) c'est l'inverse (le confinement total) qui a été appliqué partout sur la planète à l'exception du cas de la Corée du sud qui a fait du dépistage, son arme fatale.

Egalement, faute de masques suffisant, beaucoup d'états ont choisi de réserver leurs stock de masques uniquement à leurs personnels soignants qui sont en première ligne, et en prétendant que les masques ne sont pas utiles pour les personnes ne présentant pas de symptômes.

Or, sans masque, on peut être contaminé, on peut aussi être le contaminant du virus. Ce n'est pas parce qu'on a pas de symptômes qu'on est pas un danger pour les autres.

Conséquences de la sous estimation du virus (par tous les états de la planète), de l'impréparation de ses états, de la cacophonie planétaire au sein des collectifs scientifiques et médecins (du fait que ces scientifiques et médecins étaient face à un ennemi inconnu) :

Le 18 mars 2020, l'Europe dépassait la Chine en terme de nombre de morts.

Le 19 mars 2020, l'Europe dépassait la Chine en terme de nombre de cas confirmés.

Et cette situation n’a fait que se dégrader jusqu'à ce que l'Europe devienne l'épicentre de la maladie pendant que la chine commençait à s'en sortir.

Le virus avait ainsi délocalisé en Europe son quartier général dès le 9 mars 2020 (début du confinement en Italie ; 17 mars en France), avant de faire des USA, son nouvel épicentre.

Enfin, le déconfinement de n'importe lequel des états qui avaient choisis dès le départ, non pas de tester d'abord toute sa population pour isoler les contaminés des non-contaminés, mais de confiner d'abord puis faire les tests, exigera un certains nombre de garanties pour éviter de nouvelles vagues, et donc éviter de re-confiner les populations déjà éprouvées par le confinement.

 

 

 

Les causes historiques et actuelles de l'impréparation mondiale des états contre la pandémie du Covid-19 n'expliquent pas tout.

Comment un virus qui vivait initialement dans le corps ou sur le corps d'un animal sauvage, avait pu franchir des ponts pour se retrouver dans le corps des humains ?

Quel est le rôle joué par les humains ou quelle est la responsabilité humaine dans ce transfert indirect qui peut être des fois direct ?

 

 

Attention !

Ce chapitre ne dit pas si le Covid-19 est fait d'une ou de deux souches, ni s'il a été ou pas conçu dans un laboratoire en Chine. Que ces scénarios soient possibles ou impossibles, ce n'est pas le sujet ici, dans la mesure où ils ne répondent pas à la question de savoir comment un virus animal (sauvage) devient un virus humain.

Exemples pour être plus explicite : 

Si on considère que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire ou à partir de manipulation de deux souches provenant de virus différents, cela ne répond point à la question de savoir comment chacun des virus d'où proviennent respectivement les deux souches, est parti d'un animal.

Ainsi, avant de parler de souche (la racine ou partie essentielle d'un virus), il faut parler d'abord du virus.

Également, parler d'une souche du VIH qui aurait été manipulé avec une bonne ou mauvaise intention dans un laboratoire, ne répond pas à la question précise de savoir comment ce virus, avant de s'appeler virus du "SIDA", est parti du chimpanzé pour atteindre l'humain qui a consommé la viande de cet animal.

Faut-il rappeler que le SIDA avait été, pendant des décennies, relégué au rang de "malédiction divine" contre les professionnels du sexe, puis de "complot de laboratoires" pharmaceutiques, alors qu'il s'agissait tout simplement d'une zoonose.

 

 

L'ORIGINE DES ZOONOSES :

COMMENT ON EN EST ARRIVÉ AU FUR DES SIÈCLES, À UN BOOM DES MALADIES INFECTIEUSES DES ANIMAUX SAUVAGES, TRANSMISSIBLES AUX HUMAINS

PAR LE BIAIS DE VIRUS ?

 

 

La vidéo ci-dessous, résume comment les virus passent directement ou indirectement des animaux sauvages aux humains par le biais du choix ou modèle de société et de modes de vie de ces humains, pour engendrer après mutation, une épidémie et voire une pandémie.

 

 

Avant les années 1700 à 1800, les pandémies de grippe se produisaient rarement dans le monde : une fois en moyenne par siècle.

De 1700 à 1800, l'intervalle entre deux pandémies était de 50 à 60 ans.

A partir de la révolution industrielle des années 1840-1889, ce rythme s'est progressivement accentué avec un intervalle de 10 à 30 ans du fait de plusieurs paramètres dont le boom des échanges, démographique, le modèle de développement humain et surtout, la déforestation qui réduit l'habitat des animaux sauvages et favorise l'apparition des ZOONOSES.

En effet, une ZOONOSE est une maladie infectieuse des animaux sauvages et transmissibles à l'humain par le biais d'un virus.

Beaucoup d'animaux sauvages portent des virus depuis très longtemps. La science le sait.

Selon les scientifiques, il y a plus de 320 000 virus d'origine animale que la science ne maitrise pas, c'est-à-dire, qu'on a pas cherché à les étudier, ou du moins, on n'a pas donné les moyens aux scientifiques de le faire.

C'est dire s' il n'y a pas d'un côté (sur terre), un danger permanent dont on se soucie moins, et de l'autre côté (dans l'univers), un non danger quant à savoir  la composition chimique de chaque planète dont certaines situées à des années lumières de la terre, ou  quant à savoir  si telle ou telle astéroide va nous tomber dessus tout en reconnaissant scientifiquement que la probabilité pour qu'un corps céleste nous tombe dessus est beaucoup plus faible voire quasi nulle par rapport à celle de l'apparition d'une pandémie virale sur notre planète.

Et les scientifiques savent pertinemment que chacun des 320 000 virus non étudiés, est susceptible, une fois en contact avec l'humain, d'engendrer une épidémie et voire une pandémie (ZOONOSE) incontrôlable qui peut conduire à l'extinction de l'humanité du fait non pas de la mondialisation plus ancienne (qui date de l'antiquité) mais de la conjugaison de la mondialisation récente (qui date de la révolution industrielle des années 1840-1889) et actuelle (qui date de 1980-2020).

Laquelle conjugaison a engendré le boom des échanges commerciaux, le boom de LA DÉFORESTATION (pour l'évelage moderne, l'agricuture, pour la recherche d'or, diamant, de minerais, de l'uranium, du coltane ...), le boom des voyages aériens, fluviaux et ferroviaires dont l'augmentation de la population mondiale en est une circonstance aggravante, de sortes qu'on a fini par atteindre un point de non retour.

Exemple :

L'Afrique est le seul continent où on trouve toutes les catégories de matières premières pour l'industrie mondiale, comme s'elles s'étaient donné rendez-vous dans son sous-sol. Même l'uranium qui avait servi à fabriquer la bombe atomique (aux USA)  contre le Japon à Hiroshima et Nagasaki, lors de la seconde huerre mondiale, avait été extrait en Afrique (au Congo : Katanga).

La matière première "coltane" n'existe nul part au monde qu'en Afrique centrale uniquement (au Congo et en Tanzanie). Ce sont des grandes zones forestières où vivent beaucoup d'animaux sauvages avec des milliers de virus pandémiques.

Et sans le coltane, aucun pays industrialisé au monde ne peut fabriquer des matériels électroniques (téléphones portables, ordinateurs, tablettes ...).

Or, depuis l'érection des indépendances "virtuelles" en Afrique (dès les années 1960), les pays riches et industrialisés y compris les anciennes puissances coloniales (européennes), ont continués à piller les richesses de cette Afrique quitte à défricher des millions d'hectare de forêts qui engendrent des zoonoses, et quitte à maintenir sous perfusion permanente le développement harmonieux de cette même Afrique (c'est-à-dire, créé et maintenir une dépendance néo-colonialiste et économique "éternelle" de l' Afrique vis-à-vis des pays industrialisés).

Les chefs d'états africains sont eux-mêmes complices de la déforestation et donc de cette dépendance dont ils profitent pour leur compte personnel à travers des soi-disant "aides au développement" des pays industrialisés, qui ne sont autres que des "aides financières au sous développent et renforcement de la dépendance économique, politique et alimentaire à travers la dette". Ces "aides" en échange de la dette et les matières premières africaines, sont fournies par la banque mondiale et le FMI (Fond Monétaire International) qui imposent aux états africains des programmes de développement scandaleux qui entretiennent la misère et la pauvreté. La Banque mondiale et FMI sont gouvernés au sommet par les riches états puissants qui ont besoin des matières premières africaines dont beaucoup se trouvent dans le sous-sol des forêts. Également, sans déforestation, il n'y a pas de papiers ni de meubles au monde !

Il y a vraiment des responsabilités à revendre partout sur la planète quant au déclenchement des pandémies (les zoonoses).

C'est trop facile et c'est même un raccourcis d' indexer sur les bancs des accusés, uniquement le mode de vie chinois.

D'où, la nécessité pour toute l'humanité de se questionner sur ses modèles de développement et de civilisation.

Il ne s'agit point de prêcher le retour à l'âge de pierre ou au néolithique, l'idéal serait de revisiter en urgence nos modes de vie et de développement, de maintenir tous ce qui protège les humains, la survie des végétaux et les animaux (sur terre et dans les océans), et d'abandonner progressivement ce qui va à l'encontre de cela en inventant d'autres alternatives.

En effet, nous vivons déjà dans un monde d’interconnexion et d’interdépendance à l’échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelque part, ou toute maladie comme une Zoonose, affecte très vite la vie et l’avenir des gens partout ailleurs. Et lorsque des mesures à adopter ont évolué dans un endroit donné, il faut prendre en compte les réactions dans le reste du monde. Aucun territoire souverain, si vaste, si peuplé, si riche soit-il, ne peut protéger à lui seul ses conditions de vie, sa sécurité, sa prospérité à long terme, son modèle social ou l’existence de ses habitants

La déforestation galopante due au modèle de développement humain a, au fur et à mesure, rapproché les animaux sauvages (porteurs de virus) des animaux domestiques et aussi des humains.

Dans certaines sociétés, ces animaux sauvages sont capturés et/ou mangés par des humains et commercialisés aussi sur des marchés ou environnement humain aux côtés des animaux domestiques.

Certains animaux domestiques (exemples : la vache, le chien, le chat ...) et d'autres animaux qui vivent avec les humains mais qui ne sont pas domestiques (exemple : les rats), sont ainsi devenus des ponts entre les virus et les humains.

Ce ne sont pas les animaux sauvages (porteurs de virus) qui sont venus vers les humains mais ce sont ces derniers qui ont détruit l'environnement des premiers.

Et ce forfait légitimé sur la planète depuis des siècles au nom du "développement" et du "tout économique", est toujours d'actualité. 

D'où, la responsabilité humaine à l'origine du Covid-19.

Les scientifiques de la planète ne savent pas pour l'instant, de manière précise, quel est l'animal sauvage à partir duquel, le nouveau virus corona (Covid-19) a pu atteindre directement l'humain, ou indirectement par un pont (un animal domestique). Le pont peut être aussi un animal qui n'est pas domestique mais qui vit dans l'environnement de l'humain (exemple : le rat).

Cependant, la très large majorité de ces chercheurs sont unanimes : le virus Covid-19 provient d'un animal sauvage.

Faut-il rappeler encore qu'il existent plus de 300 000 virus non étudiés par les scientifiques, et que nos modèles de développement et modes de vie sur la planète ne sont pas de nature à tenir à distance ces virus. Et c'est le moins qu'on puisse dire.

Nous (les humains) avions considéré que nous étions extérieure à la nature, et pire encore, que nous étions supérieure à cette nature qui, pourtant, englobe les animaux sauvages et leurs habitats, les humains, les végétaux, les poissons et les océans, les insectes, les oiseaux ...

Nous avions ensuite détruit presque tous les équilibres.

En effet, nous avions détruit en moins d'un siècle, ce que la planète a construit durant des millénaires, et nous avions cru pouvoir vivre tranquillement pendant longtemps sans retour de bâton de la nature. 

Le Covid-19 qui n'est pas le premier avertissement ou première pandémie, n'est-il pas un nième rappel à l'ordre par rapport aux équilibres, ou tout simplement une piqûre de rappel ?

En effet, nous (les humains) avons, par le biais de la déforestation et la course effrénée aux profits (au nom des impératifs économiques), dé-confinés les animaux sauvages qui vivaient confinés avec les virus depuis belle lurette.

Nous avions de ce fait, dé-confiné les virus qui sont à l'origine des pandémies virales (d'origine animale).

Faut-il retenir de ce virus pandémique que le désastre humain et économique ?

Les centaines de milliers de redoutables virus dé-confinés que la science ne connait toujours pas, viennent, un à un, à leur tour, au fur des décennies, nous confiner, nous assigner à résidence et remettre en cause, toutes nos certitudes, tous nos modèles de développement et de civilisation, et engendrer un cortège de morts, une hécatombe digne de l'apocalypse.

Mais, ces virus viennent également pour tester notre humanité entre nous les humains en nous obligeant à accepter le partage égalitaire des richesses de la planète entre personnes riches et pauvres, entre états riches et pauvres sous peine que tout le monde soit contaminé et meurt.

Exemple concret :

Qui pouvait imaginer une seconde que des hôtels de luxe dédiés en temps normal aux grandes fortunes mais désormais sans clientèle à cause du Covid-19, pouvaient être réquisitionnés et même ouvert volontairement par les propriétaires pour accueillir des SDF contaminés y compris des milliers d'autres personnes frappées de précarité et contaminées également ?

En temps normal, si vous séjournez dans un hôtel ou si vous ne payez pas votre loyer non pas par refus, mais par manque de moyens, les huissiers de justice seront là et les juges feront le reste !

Le Covid-19 a créé des formes de solidarités entre voisins qui s'ignoraient royalement !

Ces virus viennent également pour tester notre capacité à nous remettre en cause face à nos choix de société et modèles de développement qui perdurent dans la violation et destruction des équilibres naturels.

Ces virus pandémiques viennent réduire significativement, certes de manière conjoncturelle, le réchauffement climatique en assignant à résidence presque toute la population mondiale : arrêt temporaire des vols aériens, fluviaux, des entreprises ...

Ces virus viennent créer des pandémies, et des fois sans remède, pour nous signifier que nous (humains) ne sommes pas plus qu'une simple composante de la nature, et qu'il y a plus fort que nous dans cette maison commune (nature).

Nous avons tendance à l'oublier.

Ces virus sont sur terre bien avant nous !

Nous ne pourrons jamais déloger tous ces virus sans nous condamner à être délogé tôt ou tard dans la mesure où cela reviendrait à détruire des équilibres entiers qui nous sera fatale.

Autrement dit, quand on détruit, au nom du "tout économique", la grande "fourmilière" (les forêts) qui est aussi le poumon de la planète, il faut s'attendre à des milliers de piqûre d'insectes délogés (de leur habitat naturel) et l'immigration massive de virus de tous genres qui n'ont pas besoin de passeport ni de visas.

Dès lors, la question n'est plus de savoir si l'humanité connaitra tôt ou tard, après le Covid-19, d'autres pandémies virales plus ou moins redoutables.

La question est de savoir quand exactement et quel intervalle (de temps) entre deux pandémies ?

I.jpg

COMMENT L'HUMANITÉ DÉCLENCHE

LES PANDÉMIES, EN PARTICULIER, CELLE DU COVID-19 ?

LES ZOONOSES

LA RESPONSABILITÉ HUMAINE :

- LE MODÈLE DE SOCIÉTÉ OU DE DÉVELOPPEMENT

- LES MODES DE VIE

N'hésitez pas à rejoindre notre groupe Facebook :

" COVID-19 EUROPE & WORLD

Ci-dessous, la photo de couverture du groupe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dès le 12 mars 2020 (après la première annonce du président de la République française), nous avons renforcé notre première décision du 09 mars 2020 en refusant de cautionner sur nos deux sites de danses et dans nos très nombreux groupes Facebook, la publication de tous les évènements (stages, soirées, cours, festivals) qui rassemblent (physiquement) des personnes.

Aucune publication promotionnelle (collective) quelconque ne sera acceptée dans nos groupes Facebook tant que l'épidémie ne sera pas vaincue.

 

En effet, nos deux sites comptent plus de 11 000 abonnés (y compris des organisateurs d'évènements) dont la large majorité semble avoir pris leur responsabilité indépendamment de la nôtre (survenue très tôt  le 9 mars 2020).

Cependant, il reste une minorité qui persiste à organiser et surtout à nous envoyer, non pas  pour les mois qui suivent, mais pour ces temps difficiles pour tous, la publication des évènements dont la tenue exige le regroupement de personnes.

Accepter de publier ces évènements, équivaut pour nous, à encourager l'insouciance et l'irresponsabilité de cette minorité d'organisateurs qui mettent en danger, face au coronavirus,  leur propre vie et celle des autres en bravant les mesures de précaution posées par nos autorités gouvernementales.

D'où notre refus catégorique jusqu'à nouvel ordre, de cautionner de tels forfaits dignes du suicide volontaire face à un ennemi invisible qu'on a pas encore vaincu et qui est en train d'obliger tous les états de la planète (y compris ceux ayant l'arme nucléaire) à se confiner de plus en plus stricte, et à conjuguer à cette prévention, des amendes de plus en plus lourdes et des peines de prison.

Nous demandons à tous les organisateurs qui publiaient dans nos groupes et/ou sur nos deux sites bien avant la pandémie, de comprendre la gravité de la situation qui nous concerne tous, et de patienter jusqu'à ce que la situation redeviennent normale.

Nous les remercions d'avance pour leur haute compréhension.

Nous sommes face à une question de vie ou de mort

C'est la survie de toute l'humanité qui est en danger face à la mort galopante chaque jour à travers le monde.

L'heure est à la solidarité nationale, au confinement, au soutient à nos soignants et pas uniquement en les applaudissant chaque soir, mais en restant aussi chez soi et en respectant strictement les règles préconisées par nos autorités.

Parmi les centaines de milliers de morts enregistrés chaque jour à travers le monde et les dizaines et voire centaines de morts enregistrés en France, nous avons tous ou nous pourrions tous  avoir un ami, un proche (un frère, une soeur, un père, une mère) ou un collaborateur à qui nous devons une pensée.

Cette épidémie va graver comme dans le marbre beaucoup de cicatrices dans la mémoire collective.

Mais, quand nous l'aurons vaincue dans la solidarité nationale et planétaire, nous l'espérons, nous aurons appris beaucoup de choses pour être encore plus fort ensemble.

En entendant sa chute prochaine espérée, la vie continue avec les loisirs chez soi en développant d'autres formes de lien social et de solidarité, dans la mesure où la pause s'impose (quant à se retrouver physiquement en groupe), à la fois d'une part, pour une question de responsabilité, de civisme, de solidarité envers nos soignants, (chaque soir) et d'autre part, pour une question de moralité quant à continuer à faire comme si rien ne se passait face à l'embouteillage quotidien de centaines et voire de milliers de cercueils devant les cimetières du monde.

En Italie et dans certains états du monde, la crémation est devenue la norme tant il n'y a plus de place dans les cimetières.

Partout dans le monde, les proches des personnes décédées du coronavirus, ne peuvent plus voir ni toucher ces corps du fait que ces derniers restent toujours des sources de contamination.

Aucune personne, aucune famille au monde n'est, pour l'instant, à l'abri de ce cauchemar.

Rien qu'une pensée pour les familles des victimes et les victimes elles-mêmes, est pour nous, le minimum syndical.

 

Il n'est donc pas question, en ce qui nous concerne, de mettre nos passions et nos loisirs au dessus de la cause humaine criante et pressante.

LA TRAVERSÉE D'UNE TELLE PANDÉMIE (COVID-19), SOULÈVE DES QUESTIONS.

COVID-19.jpeg

...

QUEST copie.jpg

 

 

 

 

 

 

1) Le confInement de toute la population étant devenu la solution miracle et le fond de commerce de presque tous les états de la planète, en lieu et place des tests à grande échelle suivis des isolements strictes des cas positifs, de l'accès aux masques pour tous, sommes-nous à l'abri de nouvelles vagues surprises (après le dé-confinement) dès lors que nous n'avons pas cherché dans la mêlée à dissocier les porteurs et non porteurs du virus dans la société pour mettre en quarantaine les premiers ?

2) Faut-il prendre le risque de se lancer à corps perdu dans un sable mouvant en mettant l'économie au dessus de la sauvegarde de millions de vies humaines et donc en décrétant trop vite le dé-confinement sans en avoir les garanties médicales (les tests pour tous et isolement des malades) et les moyens (les masques pour tous ...) pour accompagner ce dé-confinement ?

3) Le confinement de toute la population est-il adapté aux populations pauvres d'Afrique, de l'Amérique du sud, de l'Inde où des centaines de millions et voire plus d'un milliard de personnes vivent sous le seuil de pauvreté le jour au jour (un réel problème de survie) et où des familles de 10, 20 et voire 50 personnes vivent sous le même toit ?

Quelles solutions à court ou à long termes pour ces populations tout en sachant que tant qu'elles seront contaminées, et tant qu'elles n'auront pas les moyens de se faire dépister, toute la planète finira par se retrouver en danger et dans la catastrophe par le biais de la mondialisation ?

4) Quand est-il du cas des prisons dans lesquelles, des centaines de milliers de prisonniers sont entassés les uns sur les autres, où il y a déjà des contaminations et sans tests pour séparer les contaminés et les non contaminés ? 

5) Comment expliquer, faire comprendre et faire respecter le sens du confinement et de la distanciation physique aux centaines de milliers de personnes atteintes de maladies mentales dans des structures spécialisées ?

6) Quel confinement pour des centaines de millions de personnes sans abri ou sans toit à travers le monde ?

7) Les difficultés posées par le confinement dans les régions où règne la pauvreté, ne sont-elles pas un avertissement et une occasion pour les pays riches de prendre conscience de l'importance du partage égalitaire des richesses de la planète pour préserver la santé et la survie de tous face à un virus qui se moque royalement des frontières nationales et continentales, qui se moque également des intérêts économiques et géopolitiques ?

8) Jusqu'à quand, le retour des états providences pourront t-ils tenir face à l'explosion du chômage de masse partout et ses innombrables conséquences économiques, psychologiques, socio-politiques tout en sachant que de toute l'histoire de la médecine, on a jamais pu fabriquer un vaccin en quelques mois mais au minimum un an ou un an et demie et voire même deux ans ou plus ? 

9) Le confinement et la saturation des hôpitaux tant décriés ne risquent t-ils pas de faire oublier les centaines de milliers de patients qui ont d'autres pathologies très graves ?

 

La tentation des beaux jours, des voyages, et surtout des grands rassemblements de personnes (sans distanciation sociale ou physique) alors qu'il n'y a pas encore de vaccin, ni de remède au Covid-19 : le risque que les contaminations repartent à la hausse et engendrent de nouvelles et grandes vagues de patients que les hôpitaux ne pourront pas contenir.

 

Cependant, plusieurs questions demeurent.

1) Avec les suspicions permanentes et les craintes d'importations de nouveaux cas qui feront sans doute légion sur la planète, comment les états vont-ils gérer à l'échelle nationale, les déplacements de personnes dans des villes, et à l'échelle continentale et internationale, les relations commerciales, politiques et les voyages de personnes sans basculer dans des dérives nationalistes au nom du protectionisme sanitaire ?

 

2) Même s'il y avait assez de masques pour tous, comment encourager les consommateurs à fréquenter les bars et restaurants dont les personnels (exemple : les serveurs) pourraient être amenés à porter à la fois des masques et des gangs pour éviter de contaminer ou d'être contaminer ?

3) Comment faire respecter la distanciation sociale et physique sur les plages bondées de monde, ou lors des concerts et festivals de danses de couple, ou dans les universités, et pire encore dans les maternelles, les écoles primaires et les collèges ?

4) Comment respecter la distanciation sociale et physique dans les transports en commun qui peuvent être bondés de monde à certaines heures et certains jours, et où ce ne sont pas tous les sièges qui sont adaptés à ces distanciations du fait de leur fixation cote à cote ?

Dans l'espoir que l'humanité s'en sortira par le biais d'un vaccin ou d'un médicament reconnu par la communauté scientifique ...

certaines questions méritent d'être posées.

D'abord, un rappel historique qui illustre que l'impréparation mondiale contre les pandémies ne date ni de 2019 ni de 2020 et qu'il est nécessaire que tous les états s'unissent et se dotent d'un plan mondial de lutte pour anticiper : 

-Les scientifiques de notre planète savent pertinemment que les virus (tous types confondus) ont précédés l'apparition de l'homme sur terre. Ainsi, le virus n'est pas un sujet nouveau.

- La pandémie grippale dite " grippe espagnole " (de janvier 1918 à décembre 1920) avait engendré sur terre, une hécatombe qu'on avait qualifié d'apocalypse (50 millions de morts selon l'Institut Pasteur, et jusqu'à 100 millions de morts selon les réévaluations récentes, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale de l'époque). Cette grippe espagnole, était due à une souche virulente et contagieuse et dite "H1N1". 

Cette pandémie avait fait prendre conscience de la nature internationale de la menace des épidémies et pandémies (dues aux virus), et des impératifs de l'hygiène et d'un réseau de surveillance pour y faire face. D'ailleurs, le Comité d'hygiène de la Société des Nations (SDN), ancêtre de l'OMS, avait été créé à la suite de cette grippe espagnole.

Mais, après la seconde guerre mondiale, les états riches (en particuliers les grandes puissances), au lieu d'investir aussi dans la prévention des pandémies qui concernent la survie de l'humanité, avaient d'autres chats à fouetter : la couse aux armements, la course dans l'espace, les profits économiques industrielles, les banques ...

- De 1957 à 1958, il y avait eu la grippe dite "grippe asiatique", identifiée "H2N2".

Ce virus avait fait près de 4 millions de morts sur la planète. On avait pas tiré de leçons de la grippe espagnole pour anticiper en mettant en place un plan mondial de lutte.

- Les coronavirus ont été identifiés pour la première fois chez l'humain dans les années 1960. Et d'autres virus n'appartenant pas à la famille des coronavirus, étaient apparus. 

Mais, il n'y a pas eu d'anticipation à l'échelle mondiale pour bien étudier ces virus et savoir comment y faire face en cas de pandémie.

- De 1968 à 1969, il y avait eu la grippe dite "grippe de Hong Kong" identifiée "H3N2". Ce virus avait fait près de 4 millions de morts sur la planète.

-La maladie à virus Ebola était apparue pour la première fois en 1976, en Afrique centrale (Soudan du Sud et Congo). Ce virus avait engendré une hécatombe.

Mais, là encore, il n'y avait pas eu de plan mondial de lutte ni d'anticipation mondiale !

Ainsi, cette épidémie Ebola était réapparue cette fois-ci en Afrique de l'Ouest en décembre 2013, et avait atteint les États-Unis, l'Espagne, le Royaume-Uni, l'Italie. Elle avait fait beaucoup de morts.

- De 1977 à 1978, il y avait eu une grippe dite "grippe russe" identifiée "H1N1". Ce virus avait fait également près de 4 millions de morts sur la planète.

Sauf que ce virus "H1N1" qui avait engendré cette "grippe russe", était un sous type ou cousin du virus "H1N1" qui avait engendré la grippe espagnole de 1918 à 1920.

Ce qui signifie que certains virus ou famille de virus reviennent à la charge quelques années ou quelques décennies plus tard s'il n' y avait pas eu d'anticipation mondiale !

- De 2009 à 2010, il y avait eu la pandémie de la "Grippe A" ou grippe aviaire dite "H1N1" qui avait fait 201 200 morts sur la planète.

Là encore, il s'agissait d'un sous type du virus "H1N1" qui avait engendré une hécatombe auparavant (à travers la grippe espagnole et la grippe russe).

- Le virus SRAS-CoV (le bêta-coronavirus qui cause le Syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS), avait été identifié en Chine en 2002.

- Le MERS-CoV (le coronavirus bêta qui provoque le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ou MERS) avait été découvert en 2012 en Arabie Saoudite.

Ces deux virus redoutables qui ont causés beaucoup de morts, appartiennent à la même famille des Coronavirus (qui avait été découvert par les scientifiques en 1960).

Ce qui signifie que ces deux virus sont de la même famille que le nouveau virus "COVID-19"(dite "SARS-CoV-2") qui règne en ce moment sur la planète.

Concernant aussi ces coronavirus, il n'y avait pas eu de plan mondial de lutte ou d'anticipation mondiale en 2002 ni en 2012 ni même en 2019-2020 (contre le COVID-19). 

 

Même si on réussi à fabriquer un vaccin contre le Civid-19, vu les apparitions ou réapparitions précédentes de virus de sous type "H1N1" et "SARS-Cov", rien ne prouve que l'humanité est à l'abri de l'apparition ou réapparition future d'un autre cousin ou sous type du Covid-19 ou du "H1N1" ...

  

Tous les types de virus qu'a connu l'humanité depuis 1918 (en l'espèce, la grippe espagnole) jusqu'à nos jours 2020, se transmettent principalement par voie aérienne, c'est-à-dire toux et éternuements.

Or, depuis, il n'y a jamais eu de plan mondial pour anticiper et défendre le minimum syndical en fabriquant assez de masques pour tous ! D'où, la course mondiale aux masques en 2020 !

A l'inverse, il y a toujours sur la planète, assez de d'armes à feu pour que chaque personne (des 7 milliards d'habitants) puisse en posséder une et voire plus, alors que la fabrication de masques coûte largement moins cher que celle des armes !

Ainsi, il y a assez d'armes pour prévoir les guerres entre humains à tout moment, mais il n'y a pas de masques pour prévoir, pour protéger la santé des populations contre les pandémies virales qui se moquent des frontières et des nationalités !

Dès lors, le manque de masques pour tous n'est pas une question de moyens, mais de volonté et de choix de priorité dans nos modèles de société et de développement.

 

Q1.jpg
Q2.jpg
Q3.jpg

1) Au regard de toute cette historique qui illustre l'impréparation coutumière mondiale face aux pandémies sanitaires, l'argument de fatalité face au COVID-19 est-elle concevable ?

 

2) Quelles leçons en tirer pour l'avenir en se disant que le Covid-19 pourrait ne pas être la dernière pandémie mais un signe ou un entrainement à l'apparition future d'un autre sous type, en l'espèce un cousin de ce même Covid-19 ou d'un autre virus ?

3) Pourquoi on ne mettrait pas en place des règles de droit mondial sur l'hygiène comme il en existe dans le foot ou pourquoi ne pas trouver une ligne de crète commune, en l'espèce, faut-il se limiter à des plans nationaux différents et mêmes contradictoires contre les pandémies ou mettre en place un plan mondial de lutte ?

4) Pourquoi ne pas penser dès aujourd'hui, le monde de demain

- en remettant en cause nos modèles de développement gouvernés par les Lobby (qui ne voient que du profit partout et à tous moments même en période de catastrophe),

- en sortant des égoismes suicidaires révélés par le Covid-19, au profit de l'économie positive (c'est-à-dire, passer d'une économie individualiste fondée sur le court terme à une économie fondée sur l'intérêt général et l'intérêt des générations futures, d'organiser la transition d'un modèle fondé sur l'économie de la richesse à un modèle dans lequel les agents économiques auront d'autres obligations au profit de l'humain, que la maximisation et la course effrénée du profit ?

5) Le Covid-19 ayant révélé les limites criantes d'un monde que nous avons construit, lequel monde est, nous le savons bien, tributaire de l'exploitation abusive des richesses de la planète et de la destruction de l'humain, faut-il attendre l'apparition probable d'un autre virus pandémique plus redoutable ou une nième piqûre de rappel, pour accélérer la prise de conscience que nous allons dans le mur ?

6) Le Covid-19 ne nous renvoie t-il pas en pleine figure, la question de savoir quelle valeur accordons-nous à la vie humaine dans nos modèles de développement ?

7) Si la vie humaine avait autant de valeur dans notre conception du développement, comment expliquer que nous les humains (les 7 milliards de personnes, et en particuliers les grands décideurs de la planète ou puissances industrielles et économiques) soyons capable de dépenser toujours  des centaines de milliards d'euros pour envoyer des engins dans l'univers et sur des planètes situées à des années lumières de la terre, et être incapable de fabriquer tout simplement assez de masques pour tout le monde contre la menace d'un minuscule virus qui se trouve non pas dans la galaxie mais sur terre où on n'a point besoin d'engins spatiaux ? 

8) Comment expliquer que nous les humains soyons capable d'envoyer des engins dans l'espace, de chercher et trouver les météorites, de découvrir la composition chimique de la plus part d'elle elles, d'étudier la trajectoire de chacune d'elles, de savoir celles qui sont susceptibles de venir percuter la terre dans 20 ans, dans 50 ans, dans 100 ans, dans 150 ans, de mettre en place par anticipation un système sophistiqué (téléguidé) pour déjouer cet accident ou collision, mais être incapable de chercher et d'étudier sur terre les virus qui existent depuis belle lurette dans les corps des animaux que nous consommons ou pas, pour anticiper et mettre en place au minimum des médicaments pour les affaiblir au cas où, et au mieux des remèdes, afin d'éviter de se retrouver totalement démunis face à un virus pandémique ?

9) Quel système de santé publique après le Covid-19 ?

La course aux armements est importante dans la mesure où elle a permis de préserver relativement la paix et équilibrer les forces antagonistes.

Mais, ces armes n'ont été d'aucune utilité face à un minuscule virus (Covid-19) capable de créer un désastre planétaire et lequel virus pourrait ne pas être le dernier du genre.

 

10) Dès lors, ne faut-il pas réduire l'écart abyssal entre les centaines de milliards investis toujours dans la course aux armements (sous marins, bombes, armes nucléaires, fusils ...) et les maigres sommes investies dans la santé publique (les hôpitaux, personnels, masques, médicaments, lits et respiratoires) et la recherche médicale qui font partie des parents pauvres de la croissance ?

11) Quelles en seront les conséquences psychologiques, comportementales et biologiques (horloge biologique : sommeil désordonné) du long confinement et du très long

dé-confinement de la population ?

En outre, il n'y a pas un lien direct entre la pandémie du coronavirus et le dérèglement climatique qui est lié à la mobilité (trafic aérien mondial et fluvial), aux activités industrielles fortement dépendantes du charbon et du pétrole.

Cependant, le confinement planétaire a, certes de manière conjoncturelle, engendré des baisses spectaculaires et inédites des émissions de CO2 et de la pollution atmosphérique.

En effet, en termes de lutte contre les émissions de C02, le confinement planétaire à lui seul, a fourni en quelques mois, un résultat beaucoup plus meilleur que celui de tous les grands engagements internationaux des états durant les 10 dernières années.

12) Dès lors, cette crise du Covid-19 ne montre t-elle pas qu’il n'est pas utopique mais possible d’intervenir de manière drastique dans l’économie pour faire face à des menaces qui pèsent sur la planète entière, de changer les règles, de prendre des décisions qui semblaient impossibles et qui deviennent finalement inévitables ?

« Les grands changements semblent impossibles au début et inévitables à la fin », affirmait l’un des fondateurs de Greenpeace, Bob Hunter.

13) Enfin, le Covid-19 n'est-il pas une occasion en or pour remettre en question nos certitudes et notre civilisation, pour ralentir un peu et se questionner sur notre présent modèle de société et sur ce que nous considérons depuis belle lurette comme priorité de notre survie, afin de concevoir un nouveau modèle qui tienne compte de l’urgence sanitaire, climatique, qui intègre la lutte contre les inégalités sociales à l'inverse du tout économique, qui intègre de nouvelles solidarités ?

 

 

Il nous appartient tous et toutes d'y méditer.

 

 

 

 

L’Équipe de Professeur Djibs

LA SUITE DES ÉVÈNEMENTS A DONNÉ RAISON ET A CONSOLIDÉ L'ENGAGEMENT ANTICIPÉ DE NOTRE ÉQUIPE DEPUIS LE 9 MARS 2020 DE STOPPER POUR L'INSTANT LES RASSEMBLEMENTS DE PERSONNES, ET D'INCITER À LA RESPONSABILITÉ DE TOUS.

VOIR, CI-DESSOUS LES ANNONCES DE NOS AUTORITÉS.

L'ANNONCE DU PRÉMIER MINISTRE FRANÇAIS,

EDOUARD PHILIPPE LE 14 MARS 2020

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'ANNONCE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE  FRANÇAISE, ÉMMANUEL MACRON,

LE 16 MARS 2020

L'ANNONCE DU MINISTRE DE L'INTÉRIEUR  FRANÇAIS, CHRISTOPHE CASTANER,

LE 16 MARS 2020

RCV.jpeg

CONFÉRENCE DE PRESSE DU PREMIER MINISTRE

ÉDOUARD PHILIPPE , LE 28 MARS 2020

L'ANNONCE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE  FRANÇAISE, ÉMMANUEL MACRON, LE 13 AVRIL 2020

DÉCLARATIONS DU PRÉSIDENT DU CONSEIL SCIENTIFIQUE FRANÇAIS, JEAN FRANÇAIS DELFRAISSY, LE 19 AVRIL 2020

CONFÉRENCE DE PRESSE DU PREMIER MINISTRE

ÉDOUARD PHILIPPE ET DU MINISTRE DE LA SANTÉ,

OLIVIER VÉRAN, LE 19 AVRIL 2020

 

ANNONCES DU PREMIER MINISTRE ÉDOUARD PHILIPPE,

LE 28 AVRIL 2020, FACE AUX DÉPUTÉS

DÉCONFINEMENT PROGESSIF :

"PROTÉGER, TESTER, ISOLER, MASQUES OBLIGATOIRE"

ANNONCES DU PREMIER MINISTRE ÉDOUARD PHILIPPE,

LE 04 MAI 2020, FACE AUX SÉNATEURS

DÉCONFINEMENT PROGESSIF : OBJECTIF 11 MAI

bottom of page